samedi 11 janvier 2025

Le Maire de la capitale prend part au coup d’envoi de la Semaine Nationale de la Solidarité


Le Président de la République, Al-Hadj Ismaïl Omar Guelleh, a marqué de sa présence le lancement officiel de la Semaine Nationale de la Solidarité, qui s’est tenu au complexe sportif d’Ali Sabieh. Cette initiative emblématique, inscrite depuis dix-sept ans dans l’agenda national, dépasse le simple cadre d’un moment de mobilisation pour incarner l’essence même de l’identité djiboutienne : solidarité, cohésion et unité. Portée par la vision politique du Chef de l’État, cette semaine dédiée à la solidarité reflète un engagement constant à construire une nation unie, où chaque citoyen joue un rôle dans le développement collectif.



Aux côtés du Chef de l’État et de la Première Dame, marwo Kadra Mahamoud Haïd, le Maire de la Capitale, M.  Said Daoud Mohamed, a marqué de sa présence cet événement fondateur. Accompagné d’une délégation imposante, composée notamment des okals de la ville de Djibouti, des présidents des communes et des élus locaux, le Premier Édile a rappelé, par son implication, le rôle central de la capitale dans le rayonnement des valeurs nationales.


En prélude à la cérémonie officielle, le Maire Said Daoud avait organisé, la veille, une soirée musicale dédiée à la diversité culturelle et à l’élan de solidarité nationale. Sur l’esplanade de la résidence de l’honorable Charmaké Moussa Arreh, artistes et citoyens ont célébré ensemble ce qui fait la force de Djibouti : son unité dans la pluralité.

« Ce soir, nous sommes tous Assajog, Beninjog, Inkitino, Midnimo, Al-Wayda », a déclaré Said Daoud dans un discours empreint de lyrisme, illustrant cette communion qui transcende les appartenances tribales et régionales.



La Semaine de la Solidarité, pierre angulaire de la vision 2035, témoigne de l’engagement indéfectible du Président Guelleh en faveur des plus vulnérables. Depuis sa création, cette initiative vise à ériger la solidarité en pilier de la politique nationale de lutte contre la pauvreté. Elle invite chaque Djiboutien à être acteur de son propre développement, tout en renforçant les liens intergénérationnels et communautaires.


Dans une intervention accordée à Warsantv24, le Maire Said Daoud a salué le leadership du Chef de l’État :

« Merci au Père de la Nation. Aux côtés de notre Président Ismaïl Omar Guelleh, nous continuerons à renforcer les liens entre les générations pour construire un Djibouti fort, uni, prospère et totalement solidaire. »

Par sa participation active à Ali Sabieh, le Maire de la Capitale a réaffirmé la place de la municipalité dans cette dynamique collective. L’engouement des Assajog et Beninjog présents témoigne de l’adhésion populaire à cette vision de cohésion et de développement inclusif.



À travers cet événement, Djibouti ne célèbre pas seulement une semaine de solidarité : elle revendique une identité, un projet commun, et une ambition pour l’avenir. Sous l’impulsion du Président Guelleh, cette flamme de l’unité continue de briller, rappelant à chaque citoyen que, face aux défis, la solidarité reste l’arme la plus puissante. 

Lancement historique de la première Bourse des valeurs en Éthiopie , un tournant économique majeur

 L’Éthiopie a franchi une étape historique aujourd’hui avec le lancement officiel de sa première Bourse des valeurs mobilières, l’Ethiopian Securities Exchange (ESX). Ce projet ambitieux, en gestation depuis plusieurs années, marque un tournant dans le développement économique et financier du pays.


Lors de la cérémonie inaugurale, le Premier ministre Abiy Ahmed a exprimé sa fierté en déclarant : « Nous avons sonné la cloche de la première bourse d’Éthiopie, une étape historique pour notre paysage économique et financier. » Il a également appelé les investisseurs à saisir cette opportunité unique : « Investissez votre capital en Éthiopie, un pays à la croissance économique rapide et au vaste potentiel de prospérité, où une voie favorable est en train d’être tracée. »

L’ESX a déjà attiré une attention considérable de la part des investisseurs nationaux et internationaux, témoignant de l’enthousiasme suscité par ce nouvel outil économique.



Parmi les principaux acteurs ayant contribué à sa création, de grandes entreprises publiques comme Ethio Telecom, l’Ethiopian Shipping and Logistics Services Enterprise, la Berhanena Selam Printing Enterprise et l’Ethiopian Insurance Corporation ont collectivement acquis une participation de 25 % dans la bourse. Ce soutien des institutions étatiques illustre l’importance stratégique de ce projet. Des banques privées influentes, notamment Awash Bank et Global Bank, ont également investi dans l’ESX, renforçant davantage la crédibilité et le potentiel de croissance de cette plateforme.


La création de l’ESX ouvre de nouvelles perspectives pour les entreprises éthiopiennes, qui auront désormais accès à une source de financement plus diversifiée. Elle permet également de renforcer la transparence et l’efficacité du marché financier, deux éléments essentiels pour stimuler la confiance des investisseurs. Ce lancement intervient à un moment crucial pour l’Éthiopie, qui s’efforce de diversifier son économie et d’attirer davantage d’investissements étrangers. Avec une croissance économique robuste et un marché en expansion, l’ESX pourrait devenir un catalyseur de transformation pour le pays, consolidant ainsi sa position sur la scène économique régionale et internationale.


L’inauguration de l’ESX symbolise l’entrée de l’Éthiopie dans une nouvelle ère de modernisation et de compétitivité économique. En facilitant le financement des entreprises et en offrant des opportunités d’investissement inédites, cette initiative a le potentiel de redéfinir l’avenir économique du pays tout en attirant un flux croissant de capitaux.

Avec ce lancement, l’Éthiopie se positionne comme un acteur clé en Afrique dans le domaine des marchés financiers, promettant de nouvelles opportunités pour ses citoyens et ses partenaires internationaux.

vendredi 10 janvier 2025

La solidarité comme levier du progrès national

 Sous le haut patronage de Son Excellence Ismaïl Omar Guelleh, la Semaine Nationale de la Solidarité, qui s’ouvrira ce samedi 11 janvier 2025 à Ali Sabieh, incarne l’âme même de la République de Djibouti. Ce rendez-vous annuel, placé sous le signe de l’unité et de l’entraide, reflète les ambitions d’une nation qui place la solidarité au cœur de son projet de société.


Dans un monde de plus en plus fragmenté, la solidarité djiboutienne demeure une force fédératrice, transcendant les différences pour bâtir un socle commun de paix et de prospérité. Ce n’est pas qu’un idéal, mais une réalité palpable qui se traduit par des actes concrets.

Ainsi, la région d’Ali Sabieh, véritable carrefour stratégique, sera sous les feux des projecteurs pour cet événement exceptionnel. Deux inaugurations majeures marqueront cette journée historique. La Maison des Sages, nouvellement établie, se dresse comme un temple du dialogue et de la sagesse ancestrale, où les dignitaires locaux joueront leur rôle d’arbitres et de médiateurs. Cette institution n’est pas seulement un hommage au passé, mais aussi un outil moderne pour renforcer la cohésion sociale et prévenir les tensions communautaires.

En parallèle, l’ouverture d’une agence de la Salam Banque symbolise le dynamisme économique de la région. En offrant des services financiers accessibles à tous, cette implantation souligne l’engagement du gouvernement à stimuler les initiatives entrepreneuriales et à créer des opportunités économiques pour les habitants d’Ali Sabieh et ses environs.



Mais cette journée ne sera pas qu’une succession de cérémonies officielles. Ali Sabieh vibrera au rythme de ses traditions et de sa modernité. De la culture maraîchère aux innovations artisanales, chaque coin de la région, de Holl-Holl à Assamo, montrera fièrement ses réussites, fruits d’un travail collectif et d’une solidarité inébranlable.


Cette Semaine Nationale de la Solidarité est bien plus qu’un événement symbolique. Elle est une démonstration vivante de ce que Djibouti peut accomplir lorsqu’il s’appuie sur ses valeurs fondamentales d’entraide et de progrès. Ali Sabieh devient ainsi, l’espace d’un moment, le miroir de tout un pays : uni dans la diversité, tourné vers un avenir ambitieux, mais fidèle à ses racines.



Enfin, il est permis d’espérer que cette célébration, riche en significations, inspire chaque Djiboutien à jouer sa part dans cette grande aventure nationale qu’est la solidarité. Car, après tout, c’est ensemble que nous avançons.


#Djibouti #SemSolidarité2025 #IOG 

mercredi 8 janvier 2025

Première rencontre fructueuse entre le Maire de Djibouti et la représentante de l’U.E sous le signe d’une coopération prometteuse en marche

 Dans une atmosphère empreinte de cordialité et d’engagement mutuel, le Maire de la ville de Djibouti, l’honorable Saïd Daoud Mohamed, a accueilli ce matin Madame Simone Shlede, Cheffe de la délégation de coopération de l’Union Européenne à Djibouti et auprès de l’IGAD. Cette rencontre stratégique marque une étape significative dans le renforcement des relations entre la municipalité et l’Union Européenne, notamment dans le cadre du projet ambitieux “PERRAD”.


Autour de la table, aux côtés du maire, se trouvait également Mohamed Hassan Saïd, président de la commune de Balbala, ainsi que des cadres de l’Union Européenne. Ensemble, ils ont exploré les avancées, les défis et les perspectives de ce programme phare visant la modernisation du réseau d’assainissement de la capitale.

Le projet PERRAD, au cœur des discussions, s’inscrit comme une initiative prioritaire dans le cadre du développement urbain et de l’amélioration des conditions de vie des citoyens. La rencontre a mis en lumière l’impact direct attendu de ce projet sur la santé publique, l’environnement et l’économie locale.



Madame Shlede n’a pas manqué de réitérer l’engagement indéfectible de l’Union Européenne à soutenir le développement durable à Djibouti. « L’Union Européenne est aux côtés de Djibouti pour bâtir une ville moderne et résiliente. Le projet PERRAD n’est qu’une étape d’un partenariat plus vaste et plus ambitieux », a-t-elle affirmé.

De son côté, le Maire Saïd Daoud Mohamed a salué cette coopération prometteuse, insistant sur les bénéfices concrets que le projet apportera à la population. Il a également détaillé les prochaines étapes, mettant en avant une vision claire pour une mise en œuvre rapide et efficace.



Cette rencontre intervient en prélude à la visite prochaine de l’Ambassadrice de l’Union Européenne à la mairie de Djibouti, signalant une volonté partagée d’intensifier les relations bilatérales.

Au-delà du projet PERRAD, les deux parties ont exprimé leur volonté commune d’explorer d’autres axes de collaboration, témoignant d’une synergie croissante entre Djibouti et l’Union Européenne.


Sous la houlette du maire Saïd Daoud Mohamed, la ville de Djibouti s’affirme comme un carrefour de partenariats stratégiques, traduisant une vision audacieuse de développement urbain. Conscient des défis auxquels la capitale est confrontée, le maire s’est engagé à diversifier les alliances en mobilisant des acteurs locaux et internationaux autour de projets structurants. Qu’il s’agisse du soutien de l’Union Européenne via le programme PERRAD, des investissements chinois dans les infrastructures, ou encore des initiatives de coopération régionale, chaque partenariat est pensé pour répondre aux besoins concrets des citoyens. Cette approche inclusive et proactive vise non seulement à améliorer la qualité de vie des Djiboutiens, mais aussi à positionner la ville comme un modèle de résilience et d’innovation en Afrique de l’Est.



Ainsi, cette première entrevue marque le début d’un partenariat renforcé, plaçant la ville de Djibouti sur une trajectoire résolument tournée vers l’avenir et le progrès partagé.

mardi 7 janvier 2025

Arta, 25 ans après , l’héritage d’une audace diplomatique

 C’était un pari fou, presque insensé. Un pari que seul un homme doté d’une vision ferme et d’une foi inébranlable en le dialogue aurait pu relever. Le 7 janvier 2000, Ismail Omar Guelleh, à peine installé à la présidence de Djibouti, convoquait à Arta une conférence qui allait redéfinir les contours de la diplomatie dans la Corne de l’Afrique.


À l’époque, la Somalie n’était plus qu’un champ de ruines. Neuf années de guerre civile avaient réduit le pays à un amas de divisions claniques, de villes fantômes et de larmes silencieuses. Les grandes capitales, de Washington à Addis-Abeba, regardaient ailleurs, comme si l’effondrement de cet État n’était qu’une fatalité africaine de plus. Mais, à Arta, l’Histoire refusait de baisser les bras.

La petite ville, nichée dans les montagnes djiboutiennes, a été choisie pour incarner le calme, loin des intrigues et des pressions. Et Arta a tenu son rôle : une oasis de paix où plus de 2 000 participants, venus des quatre coins de la Somalie, allaient tenter l’impossible.


Le président Guelleh annonce la conférence de réconciliation lors de l’A.G des Nations Unie

Contrairement aux tentatives précédentes de médiation, qui s’étaient perdues dans les sables mouvants des seigneurs de guerre, Arta a misé sur une approche radicalement différente. Ismail Omar Guelleh a ouvert les portes à toutes les composantes de la société somalienne : chefs de clans, leaders religieux, représentants de la diaspora, organisations de femmes, et même ceux que l’on disait irréconciliables.  Ainsi, la méthode Guelleh qui a fait la différence se posait sur deux axes : inclusion et dialogue

Pendant cinq mois, dans une ambiance parfois tendue mais toujours empreinte de respect, des voix longtemps étouffées se sont exprimées. Le résultat ? La création d’un Gouvernement national de transition (GNT), premier organe central somalien depuis 1991. Certes, l’accord d’Arta n’a pas réglé tous les problèmes. Mais il a fait naître un espoir, celui d’un retour possible à la paix et à l’unité. Et cela, pour la Somalie comme pour Djibouti, n’a pas de prix.



Au-delà des frontières somaliennes, Arta a renforcé la stature de Djibouti en tant que médiateur incontournable dans une région en constante ébullition. Ismail Omar Guelleh n’a pas seulement offert une table de négociation, il a montré au monde que la paix africaine doit être pensée et construite par des Africains eux-mêmes. Arta, c’est aussi l’histoire d’un petit pays qui, malgré ses ressources limitées, a su jouer un rôle démesuré sur l’échiquier diplomatique. Un pays qui, avec son président, a osé croire que le dialogue, même dans les circonstances les plus désespérées, pouvait faire taire les armes.


Conférence de réconciliation somalienne d’Arta 

Vingt-cinq ans plus tard, que reste-t-il d’Arta ? Beaucoup, et c’est peu de le dire. L’esprit d’inclusion et de dialogue qui a animé cette conférence continue d’inspirer. Si la Somalie reste en proie à des défis complexes, les fondations posées à Arta ont servi de tremplin pour de nombreuses avancées.

Dans cette optique , ce 25e anniversaire est l’occasion de rendre hommage non seulement à une initiative, mais aussi à une philosophie : celle d’un panafricanisme pragmatique, où la solidarité régionale est mise au service de la paix.



Enfin, la conférence de réconciliation d’Arta, c’est une leçon pour tous. Une leçon d’audace, de patience et de foi en l’humanité. À une époque où les conflits prolifèrent, où le dialogue semble parfois céder le pas aux logiques d’affrontement, l’héritage d’Arta nous rappelle que rien n’est jamais perdu. Pour la Corne de l’Afrique, cette petite ville reste un phare, un symbole de ce que le courage diplomatique peut accomplir. Pour Djibouti et son président Ismail Omar Guelleh, c’est un chapitre lumineux d’un livre que l’histoire continue d’écrire.


Et pour nous, 25 ans après, c’est une invitation à ne jamais renoncer à croire en la paix, même lorsque tout semble perdu. L’esprit d’Arta, aujourd’hui encore, éclaire l’avenir.

lundi 6 janvier 2025

Le maire de Djibouti honore le Sultan Hassan Sultan Abdillahi lors d’un déjeuner officiel

 Dans un esprit de convivialité et d’hospitalité, le maire de la ville de Djibouti, M. Saïd Daoud, a organisé un déjeuner  ce lundi en l’honneur de Son Altesse le Sultan Hassan Sultan Abdillahi Sultan Abdirahman. Un déjeuner qui a vu la participation de Nour Ali Abdi et l’épouse du Maire. Sultan Hassan, accompagné de plusieurs membres de sa famille, effectue une visite dans la République de Djibouti depuis quelques jours.



Cette rencontre a été marquée par un échange chaleureux, au cours duquel le Sultan Hassan Sultan Abdillahi Sultan Abdirahman a exprimé sa gratitude envers le maire pour l’accueil exceptionnel qui lui a été réservé. Il a également souligné l’importance de ce geste symbolique, témoignage des valeurs de respect et de solidarité ancrées dans la culture djiboutienne.



Ainsi, ce déjeuner d’honneur s’inscrit dans une tradition qui reflète les liens étroits de fraternité et d’amitié entre les peuples. Il illustre également le rôle clé des dirigeants locaux dans le renforcement des relations sociales et culturelles.



En accueillant le Sultan et sa famille, la ville de Djibouti a une fois de plus affirmé son attachement à ses valeurs d’ouverture et de respect, des principes qui font la fierté de la République de Djibouti.







jeudi 2 janvier 2025

Le Maire salue le geste de solidarité d’Ali Zeid Chadily en réponse à l’appel de la ville

 L’appel lancé samedi dernier par le maire de Djibouti, M. Said Daoud Mohamed, continue de susciter un élan de solidarité exemplaire au sein de la communauté. Ce jeudi 2 janvier, le maire a supervisé la troisième opération de distribution de rations alimentaires aux familles touchées par l’incendie dévastateur survenu le 28 décembre dans le quartier de Djebel.


Accompagné par le Sous-Préfet du 3e arrondissement, M. Haybe Hared Gadid, les députés nationaux Ali Zeid Chadily et Ibrahim Ahmed Abdo, ainsi que les membres du Comité de coordination et de soutien aux sinistrés, le maire a tenu à exprimer sa reconnaissance pour l’engagement citoyen en réponse à cette tragédie.



Dans son discours, M. Said Daoud Mohamed a particulièrement salué le geste généreux d’Ali Zeid Chadily, député national et homme d’affaires, pour son appui concret aux familles sinistrées. « L’offre de ces denrées alimentaires, initiée par l’honorable Ali Zeid Chadily, est un acte salutaire. C’est un exemple parfait de l’esprit de solidarité djiboutienne. J’invite d’autres à suivre cet exemple », a déclaré le maire.


Le maire a également rendu hommage à la population de Djebel et aux membres du Comité de coordination, soulignant leur mobilisation exemplaire. « Je suis immensément honoré par l’engagement des cadres et de la diaspora djébeloise. Cet élan citoyen devrait servir de modèle pour les autres quartiers populaires de Djibouti », a-t-il affirmé.

Pour sa part, le Sous-Préfet Haybe Hared Gadid a remercié l’honorable Chadily et félicité le comité de coordination pour leur dévouement. Il a rappelé que les équipes techniques s’activent sur le terrain pour nettoyer les zones affectées par l’incendie.



L’honorable Ali Zeid Chadily, visiblement ému, a exprimé sa compassion envers les familles touchées et a salué les efforts conjoints du maire, du Sous-Préfet et des membres de la diaspora. Le président du Comité de coordination, M. Faissal Awaleh, a également tenu à remercier tous les donateurs et volontaires pour leur soutien constant. Cette troisième action de solidarité s’inscrit dans la continuité de celles initiées par le Ministère des Affaires Sociales et de la Solidarité (MASS) et d’autres donateurs comme le commerçant Ayman Ateif. Ces efforts conjugués visent à renforcer les actions de solidarité nationale et à répondre efficacement aux besoins des sinistrés.


Par ailleurs, le maire de Djibouti, M. Said Daoud Mohamed, incarne pleinement le rôle d’un leader humaniste et régalien dans son engagement quotidien envers les habitants de la capitale. Suite à l’incendie tragique de Djebel, il a su se positionner comme un pilier de solidarité et de réconfort pour les familles sinistrées, mobilisant les ressources nécessaires pour répondre aux besoins urgents tout en rassemblant les forces vives de la communauté. Son sens du devoir régalien se manifeste dans sa capacité à orchestrer les actions des institutions publiques et des partenaires privés, tout en maintenant un lien étroit avec les citoyens. Accessible, attentif et profondément attaché aux valeurs de justice et d’équité, le maire œuvre également au quotidien pour améliorer les conditions de vie des citadins, que ce soit par des initiatives sociales, des projets citoyens ou une écoute active des doléances des habitants. Sa vision humaniste et son leadership régalien font de lui un acteur clé de la cohésion et du développement de la ville de Djibouti.



Avec cet élan de générosité, la ville de Djibouti témoigne une fois de plus de sa capacité à unir ses forces face à l’adversité, tout en valorisant l’esprit de solidarité et de fraternité qui caractérise la société djiboutienne.

Les télégrammes de félicitation affluent à la Présidence de la République à l'occasion de la Fête nationale

  À l'occasion de la célébration de l'anniversaire de l'Indépendance de la République de Djibouti, de nombreux dirigeants du mon...