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mardi 29 avril 2025

Portrait : M. Abdoulkader Dileita , un parcours de leadership et d’engagement au service de l’Afrique

 À Djibouti, les étoiles ne tombent plus, elles s’arriment au firmament du pouvoir international. Loin du temps des candidatures effacées et des ambitions déçues, le pays récolte aujourd’hui les dividendes d’une stratégie mûrie à froid : placer ses meilleurs profils là où se dessinent les décisions, là où se forgent les rapports de force.


Hier encore modeste figurant, Djibouti se glisse désormais dans le premier cercle des nations qui comptent sur la scène continentale et mondiale. Chaque nomination est une victoire. Chaque ascension, une confirmation. Le pays avance, sans bruit mais sans retour, dans le concert des puissances discrètes mais agissantes.


Dans la discrétion qui sied aux vraies stratégies, Djibouti avance ses pions. Dernier en date : Abdoulkader Dileita, juriste chevronné, qui prend les commandes du bureau de la Banque africaine de développement en Algérie. Un parcours exemplaire, reflet d’une ambition nationale patiemment affirmée.


Il est des trajectoires personnelles qui prolongent et incarnent cette ambition collective. Celle de M. Abdoulkader Dileita en est l’illustration parfaite. Récemment nommé Chef de bureau pays pour l’Algérie au sein du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD), ce Djiboutien de naissance porte, dans son cheminement discret mais constant, les espoirs d’une génération de bâtisseurs africains. Homme de dialogue et de négociation, fort de plus de vingt-sept années d’expérience, il a su naviguer avec brio entre les arcanes du droit, de la gouvernance et des relations internationales, toujours animé par une vision claire : contribuer, à sa mesure, au développement d’une Afrique forte et souveraine.



Dès sa nomination, la confiance manifestée par le Président Akinwumi Adesina à son égard s’est rapidement imposée comme un gage de reconnaissance d’un parcours exceptionnel, mais aussi d’une mission d’envergure. « Je me sens extrêmement reconnaissant et profondément honoré pour la confiance renouvelée du Président Adesina en ma personne », a déclaré M. Dileita, qui n’a cessé de travailler avec rigueur et humilité pour atteindre les objectifs qui lui sont confiés.


Son parcours commence à Djibouti, où, après avoir exercé des responsabilités dans des secteurs stratégiques comme la culture, les postes et télécommunications, M. Dileita a pris une place centrale dans la structuration de projets majeurs pour son pays. Conseiller technique au ministère de la Culture, porte-parole du gouvernement, puis Secrétaire général, il a participé à l’essor de secteurs-clés, à travers des négociations complexes et des partenariats public-privé (PPP), qui ont profondément marqué le développement des infrastructures portuaires, énergétiques et des télécommunications à Djibouti. Ce fut une période d’apprentissage et de consolidation où il a joué un rôle déterminant dans des processus de privatisation d’envergure, alliant savoir-faire technique et diplomatie.


En 2006, il rejoint la Banque africaine de développement en tant que consultant, avant de gravir les échelons pour devenir Secrétaire exécutif du Tribunal administratif en 2016. Sa capacité à gérer des projets complexes, ses compétences en droit international et sa gestion des relations de haut niveau ont fait de lui un acteur clé au sein de l’institution. Son expertise en matière de négociation et de structuration des projets non souverains l’a placé en première ligne pour résoudre des enjeux juridiques et économiques majeurs, là où les intérêts publics et privés convergent.


Un autre aspect marquant de son parcours est sa faculté à allier une vision stratégique à une écoute fine des enjeux locaux. Homme de terrain, M. Dileita a toujours su allier théorie et pratique. Les défis qu’il a relevés, souvent dans des environnements complexes et parfois instables, témoignent de sa diplomatie discrète, mais efficace. Là où certains se contentent d’analyser, il agit.


Son arrivée en Algérie s’inscrit dans un contexte économique et géopolitique marqué par de profondes réformes. Face à cette situation, M. Dileita ne tarde pas à évoquer la nécessité d’un dialogue renforcé, capable de répondre aux besoins de financement et de développement de ce pays stratégique. « Je m’attellerai à renforcer le dialogue stratégique entre la Banque et ce pays clé de notre continent », assure-t-il, soulignant son engagement à poursuivre des partenariats à fort impact pour la région.


Bien que ses diplômes ( une maîtrise en droit public de l’Université de Toulouse et un MBA de l’Université de Québec ) soient impressionnants, ce qui frappe le plus dans le parcours de M. Dileita, c’est sa manière d’incarner le leadership. Un leadership nourri par la sagesse, l’humilité, et un sens aigu de la responsabilité. Pas de prétention, juste une vision claire : celle d’un développement durable, inclusif, et profondément ancré dans les réalités africaines.


Aujourd’hui, l’Algérie, avec ses ambitions et ses défis, peut compter sur un homme de dialogue, de conviction et de résultats. M. Abdoulkader Dileita incarne cette nouvelle génération de leaders africains prêts à faire face aux défis contemporains avec une approche pragmatique et stratégique.

mardi 14 janvier 2025

Hajiya Kadra Mohamoud Haid , une voix pour la cause féminine et de la famille

 Depuis 1999, Mme Kadra Mohamoud Haid incarne le rôle de Première Dame de la République de Djibouti, un titre qu’elle a façonné avec une profondeur d’engagement rare et une vision déterminée. demeure l’une des figures les plus influentes de la scène sociale djiboutienne.


Née dans une famille où valeurs et éducation étaient primordiales, Kadra Mohamoud Haid a grandi dans un environnement douillet et chaleureux. Son parcours scolaire débuta chez les sœurs franciscaines à l’école de la Nativité, avant de se poursuivre au Lycée d’État, où elle brilla par son sérieux et son intelligence. Sensible aux besoins de son pays et en phase avec une demande croissante d’enseignants locaux, elle choisit la voie de l’enseignement, suivant les traces de sa sœur aînée, Mme Chafiqa.



Dans les années 1970, elle se consacra à l’éducation, enseignant dans des écoles emblématiques de Djibouti, comme Boulaos, la Plaine ou encore le Stade. Son rôle ne se limitait pas à la salle de classe ; en tant que bibliothécaire et gestionnaire, elle encourageait les jeunes à fréquenter la bibliothèque, voyant dans les livres un outil d’émancipation intellectuelle et sociale. Son militantisme remonte également à cette époque. Active dans le LPAI aux côtés de Hassan Gouled Aptidon, puis au sein du RPP dès 1979, elle posait les jalons d’un engagement politique qui allait se renforcer au fil des décennies.



En tant que présidente de l’Union Nationale des Femmes Djiboutiennes (UNFD), Mme Kadra Mohamoud Haid s’est imposée comme une ardente défenseure des droits des femmes et une adversaire résolue des mutilations génitales féminines. Grâce à son leadership, Djibouti a adopté des lois progressistes interdisant ces pratiques néfastes. Sa détermination dans cette lutte a été saluée lors de la Conférence sous-régionale sur l’élimination des MGF en 2005, où Emma Bonino, alors commissaire européenne, avait souligné que « le sens de l’engagement humaniste de la Première Dame a permis à Djibouti d’améliorer la promotion du genre dans tous ses aspects ».


Surnommée « la dame de fer » par ses compatriotes, Mme Kadra Mohamoud Haid a redéfini le rôle de Première Dame à Djibouti, en y insufflant une dimension profondément humaniste. Forte de son charisme, elle a su transformer ce poste en une plateforme d’influence pour les plus vulnérables.Aujourd’hui, elle demeure un pilier de la promotion du genre et du développement social à Djibouti. À travers ses initiatives, Kadra Mohamoud Haid laisse une empreinte indélébile, démontrant que derrière chaque avancée significative se trouve souvent la vision d’une femme forte et dévouée.

Crédit photo : D.L 

M.G 

mardi 19 novembre 2024

Retour sur la carrière politique du nouveau président du Somaliland

 Abdourahman Mohamed Abdillahi, surnommé “Irro”, est né le 24 avril 1955 à Hargeisa. Homme politique majeur du Somaliland, il a consacré sa vie à la reconstruction de son pays, à l’instauration de la démocratie et à la défense des intérêts de ses concitoyens.


Après ses études secondaires à la prestigieuse SOS Sheikh Secondary School, Irro poursuit sa formation académique en obtenant un MBA à l’American University. Sa carrière professionnelle débute dans les années 1970 à l’Agence de Développement des Régions (Dan-wadaagaha). Son ascension est rapide : il passe de responsable d’antenne dans plusieurs régions à directeur général au siège central à Mogadiscio.



En 1981, Irro rejoint le service diplomatique somalien. Premier consul à l’ambassade de Somalie à Moscou, il joue un rôle essentiel dans la gestion des relations avec l’Union soviétique. Lors du déclenchement de la guerre civile somalienne en 1991, il devient ambassadeur par intérim et organise l’évacuation des expatriés somaliens. Cet épisode met en lumière ses compétences diplomatiques et son sens des responsabilités.

Après cette période tumultueuse, il s’installe en Finlande en 1996, où il rejoint sa famille tout en continuant à suivre de près les événements dans son pays natal.


Au début des années 2000, Abdourahman Mohamed Abdillahi retourne au Somaliland. Observateur attentif de la scène politique, il co-fonde avec Faysal Ali Warabe le parti Justice et Développement (UCID). Élu député en 2005, il devient rapidement président de la Chambre des représentants, poste qu’il occupe jusqu’en 2017. Sous sa présidence, il œuvre pour renforcer le rôle du Parlement dans le processus démocratique.

En 2012, Irro décide de tracer sa propre voie en fondant le parti Wadani. En quelques années, Wadani s’impose comme l’un des principaux partis politiques du Somaliland, remplaçant l’ancien parti dominant, UDUB.


En 2017, Abdourahman Med Abdillahi se présente à l’élection présidentielle sous les couleurs de Wadani. Malgré une défaite serrée face à Moussa Bihi, candidat du parti Kulmiye, Irro ne se décourage pas. Il restructure Wadani, attirant de jeunes talents issus de la société civile et renforçant son réseau politique.


Reconnu pour son tempérament apaisé et sa capacité à rassembler, Irro est à la fois respecté et critiqué. Ses opposants le décrivent parfois comme “mou”, mais ses partisans louent son calme, sa résilience et son engagement envers les citoyens.


En 2024, Abdourahman  se lance à nouveau dans la course présidentielle. Sa campagne, axée sur l’unité, la prospérité et l’inclusion, fait de lui un candidat sérieux dans un climat politique tendu.


 Enfin, Abdourahman Mohamed Abdillahi “Irro”, le nouveau président du Somaliland, incarne une vision de stabilité et de développement pour son pays. Avec une carrière alliant diplomatie et leadership politique, il demeure une figure incontournable de l’histoire contemporaine de ce territoire en quête de reconnaissance internationale. Bien qu’il ne pas  soit l’une des figures marquantes des indépendantistes du SNM, il s’impose également comme un diplomate chevronné.

mardi 8 octobre 2024

Personnalité du mois : Mme Kadjia A. Barkadleh

 


Mme Kadjia Ahmed Barkadleh est une figure incontournable de l'entrepreneuriat à Djibouti, reconnue pour son dévouement au développement économique et social du pays. À la tête de plusieurs entreprises prospères, elle s'impose comme l'une des pionnières de l'entrepreneuriat féminin, jouant un rôle clé dans la promotion de l'émancipation des femmes à travers l'entrepreneuriat. De la société Zamzam Water, spécialisée dans la distribution d'eau, à Habon Construction, active dans le secteur du bâtiment, elle a su diversifier ses activités commerciales sur une période de deux décennies.



Née et ayant grandi dans le dynamique quartier 4 de Djibouti-ville, Kadjia a dès son jeune âge montré un tempérament affirmé, qui lui a valu le surnom de "Fouriyo" parmi ses camarades. Son courage et son ambition, qui ne l'ont jamais quittée, l'ont propulsée au rang de leader dans un milieu encore majoritairement dominé par les hommes. Ces qualités lui ont permis de franchir les obstacles et de devenir une source d'inspiration pour les jeunes filles, démontrant que la ténacité et la persévérance ouvrent les portes du succès.


En tant que militante engagée du parti RPP, Mme Barkadleh ne limite pas son impact à l'économie. Elle participe activement à des initiatives visant à renforcer l'autonomisation des femmes à Djibouti, notamment par la sensibilisation et à l'amélioration de l'accès au financement et aux formations pour les entrepreneures en herbe. Par son action, elle contribue à être un exemple pour les jeunes générations desirant de se lancer dans le monde de l’entreprenariat. Elle croit ferme à l'essor des talents féminins dans le monde des affaires et de l’entreprise. 


Citoyenne engagée et modèle inspirant, Kadjia Ahmed Barkadleh incarne la réussite et l'engagement au service de l'avenir du pays, offrant un exemple de leadership visionnaire et de résilience pour les générations à venir. 

mercredi 12 juin 2024

PORTRAIT : YASMIN ABDI , UNE ICÔNE DE LA SILICON VALLEY

 


La Chronique de l’Est se penche sur le portrait d’une jeune femme qui a réussi dans le monde de la cyber sécurité et de l’intelligence artificielle. La politique de notre ligne éditoriale consiste à accompagner le développement des pays de l’Afrique de l’Est et les personnalités qui en sont originaires. Yasmin Abdi fait partie de ces jeunes qui honorent la région de par leurs talents au niveau international. 

Dans le monde dynamique de la cybersécurité, un nom s'est imposé comme un précurseur et une source d'inspiration pour les professionnels en herbe : Yasmin Abdi. À tout juste 26 ans, Yasmin n'est pas seulement le fondateur et le PDG de noHack, une entreprise publique spécialisée dans les services de cybersécurité, mais aussi un conseiller technique émérite dont le parcours, de la Somalie à la Silicon Valley, est remarquable.


Yasmin Abdi, PDG de noHack

L'histoire de Yasmin est celle d'un triomphe sur l'adversité. Élevée en Somalie, un pays aux ressources limitées, elle s'est découvert une passion pour la technologie et le piratage informatique dès son plus jeune âge. Malgré les nombreux défis auxquels elle a été confrontée, les premiers succès de Yasmin en matière d'intrusion dans les réseaux et de piratage de comptes ont préfiguré son avenir dans le secteur de la cybersécurité.


De retour aux États-Unis pour ses études, Yasmin Abdi a fréquenté l'université du Maryland grâce à une bourse Google et a fondé le premier club d'informatique exclusivement féminin, Ladies of Computer Science (LOCS). Sa volonté de créer un environnement favorable aux femmes dans le domaine de la cybersécurité reflète son engagement à faire tomber les barrières et à donner des moyens d'action à la prochaine génération.



Le parcours de Yasmin s'est poursuivi par l'obtention d'un diplôme en informatique avec une spécialisation en ingénierie de la cybersécurité. Ses réalisations exceptionnelles l'ont amenée à occuper des postes clés chez des géants de l'industrie tels que Google, Meta et Snap, où elle est devenue l'une des premières femmes noires à occuper un poste d'ingénieur logiciel. En remportant le hackathon inaugural de Snap lors de son premier stage et en contribuant aux progrès de l'industrie, elle a démontré ses compétences exceptionnelles et ses contributions novatrices.


Au cours de son parcours, Yasmin a également été membre fondateur de Meemo, une application de finance sociale alimentée par l'IA et rachetée par Coinbase pour 95 millions de dollars. Les technologies de Yasmin servent aujourd'hui plus de 100 millions d'utilisateurs actifs quotidiens dans le monde entier. Son leadership et son expertise s'étendent au-delà du monde de l'entreprise, avec des reconnaissances notables telles que celle d'auteur contributeur pour CyberWire, le plus grand réseau B2B de cybersécurité au monde, et d'oratrice principale pour le 50e anniversaire de l'informatique de l'Université du Maryland.


Le parcours de Yasmin n'a pas été sans difficultés. En tant que membre d'une triple minorité - jeune, noire et femme - elle a dû faire face à des obstacles uniques, travaillant trois fois plus dur pour obtenir la reconnaissance. Cependant, le mantra de Yasmin, "No means next opportunity", reflète sa résilience face à l'adversité. En siégeant au conseil consultatif de BlackGovTech et en encadrant activement 50 étudiants issus de minorités, elle façonne activement l'avenir de la diversité dans le secteur de la cybersécurité.


En tant que dirigeante visionnaire de noHack, Yasmin Abdi envisage que l'entreprise devienne une puissance mondiale en matière de contrats gouvernementaux de cybersécurité au cours des dix prochaines années. Son objectif est d'établir des partenariats clés avec des agences fédérales telles que la DOD, la CIA, la NSA, la CISA, etc. et de révolutionner l'approche des évaluations de sécurité. Yasmin observe une augmentation des attaques numériques importantes, due à la multiplication des attaques de type "zero-day", des menaces d'initiés malveillants et des attaques critiques ciblant l'infrastructure américaine. "La défense contre les cyberattaques nécessite une stratégie à plusieurs niveaux. Parmi les étapes clés, citons la mise à jour régulière des logiciels, l'utilisation de l'AMF, l'emploi de pare-feu et de logiciels antivirus, la restriction et le cryptage de l'accès aux données sensibles. Cependant, l'éducation est un élément fondamental de la cybersécurité - une sensibilisation régulière est essentielle pour prévenir les attaques par hameçonnage et les tactiques d'ingénierie sociale", ajoute-t-elle.


L'histoire de Yasmin est plus qu'un simple parcours personnel - c'est une invitation à innover, à inspirer et à avoir un impact. Grâce à sa recherche incessante de l'excellence, elle illustre le pouvoir de transformation de la passion, de la résilience et de la détermination.


Elle préconise de créer des opportunités s'il n'y en a pas. "S'il n'y a pas de place à la table, créez votre propre table", souligne-t-elle. L'esprit d'entreprise de Yasmin l'a amenée à créer noHack, une manifestation de sa vision pour renforcer les défenses des clients dans le paysage de la cybersécurité : "Être préparé, c'est toujours rester prêt. Grâce à mon travail avec noHack, j'aide mes clients à évaluer les risques, à intégrer des logiciels de détection avancés, à mettre en œuvre une sécurité robuste des terminaux et à surveiller en permanence les comportements du réseau pour détecter tout signe d'activité suspecte", explique-t-elle.


L'apprentissage continu est une autre pierre angulaire de la réussite de Yasmin. Elle encourage l'adoption d'un état d'esprit d'apprentissage permanent, la curiosité, l'ouverture d'esprit et la recherche proactive de connaissances. Le parcours de Yasmin, qui n'a suivi aucun cours d'informatique jusqu'à l'université et qui dirige aujourd'hui une équipe mondiale d'ingénieurs en cybersécurité chez Snap, met en évidence le pouvoir de transformation de l'apprentissage permanent.


Enfin , le parcours de Yasmin Abdi est une source d'inspiration pour tous ceux qui aspirent à exceller dans la cybersécurité. Son histoire est une preuve vivante que la passion, la détermination et la résilience peuvent surmonter les obstacles les plus imposants et ouvrir la voie à un avenir brillant et innovant.

Les messages de félicitations affluent de toutes parts pour saluer l’anniversaire de l’Indépendance de #Djibouti

  À l’occasion du 48e anniversaire de l’accession de la République de Djibouti à la souveraineté internationale, les télégrammes de félicita...