dimanche 19 janvier 2025

Djibouti, un Hub stratégique pour l’IFC

 Sous le ciel de Djibouti, un événement d’une portée symbolique et stratégique s’apprête à marquer les esprits. Du 20 au 25 janvier, la retraite annuelle de la Société Internationale des Finances (IFC), branche du Groupe de la Banque Mondiale dédiée au secteur privé, réunira plus de 180 participants. Parmi eux figurent des décideurs influents et des experts aguerris de la finance internationale. C’est une première pour Djibouti, et elle illustre clairement la montée en puissance de ce petit pays de la Corne de l’Afrique, désormais perçu comme un acteur clé du développement économique régional.





Cette rencontre, qui se déroulera à huis clos après des consultations approfondies, envoie un message sans ambiguïté : Djibouti ne se limite plus à son rôle traditionnel de point stratégique, mais devient un véritable moteur des transformations économiques sur le continent.


Lors d’une réunion préparatoire tenue ce matin avec une délégation de l’IFC dirigée par son vice-président, Sergio Pimenta, le ministre des Finances et de l’Économie, chargé de l’Industrie, Son Excellence Ilyas Moussa Dawaleh, a présenté avec sa précision coutumière les grandes orientations de cette collaboration. Au programme de la retraite, des échanges approfondis sur les enjeux de la transformation économique en Afrique. « La clé réside dans le secteur privé », a-t-il affirmé avec conviction, insistant sur l’importance d’une diversification économique pour bâtir un développement durable et inclusif. Bien que l’économie djiboutienne repose encore largement sur ses infrastructures portuaires et logistiques, le pays aspire à diversifier ses moteurs de croissance, notamment dans le domaine du tourisme. Le ministre a décrit ce secteur comme un « levier stratégique » capable de stimuler la création d’emplois et de renforcer le dynamisme local.



L’IFC, qui s’implique activement dans les économies émergentes, semble particulièrement sensible à ce potentiel encore sous-exploité. En choisissant Djibouti pour cette retraite de haut niveau, l’organisation envoie un signal fort : le pays est désormais un partenaire incontournable pour les investisseurs internationaux. Ce partenariat, déjà solide, s’enrichit d’une vision commune : celle d’une Afrique où le développement repose sur un secteur privé robuste et innovant.


Cependant, les ambitions de Djibouti ne s’arrêtent pas là. En misant sur la diversification, le pays souhaite se positionner comme un modèle de transformation économique pour le reste du continent. Cette dynamique s’inscrit également dans le cadre des Objectifs de Développement Durable (ODD) fixés par les Nations Unies. Comme l’a souligné un haut responsable de la Banque Mondiale, « ce partenariat dépasse les simples investissements financiers : c’est une promesse d’avenir ».



Au-delà des discours, une nouvelle vision s’esquisse : celle d’un Djibouti prêt à ouvrir un nouveau chapitre de son histoire, porté par l’énergie de ses ambitions et le soutien d’institutions internationales. L’engagement de l’IFC à exploiter le potentiel du pays illustre la confiance placée en sa résilience et en sa capacité à se réinventer. Ensemble, Djibouti et l’IFC tracent la voie vers un avenir où la prospérité ne sera plus un simple idéal, mais une réalité tangible.


samedi 18 janvier 2025

Djebel , la solidarité sino-djiboutienne au chevet des sinistrés

 Dans un Djebel sinistré mais résolument tournée vers la reconstruction, une scène de fraternité internationale s’est jouée ce jour au cœur de Djebel, théâtre du drame survenu le 28 décembre 2024. Sous l’impulsion de la municipalité de Djibouti, dirigée par M. Said Daoud Mohamed, une cérémonie de distribution de vivres et de matériel d’urgence a rassemblé acteurs locaux et partenaires internationaux, avec en tête la Chine, fidèle alliée stratégique et humanitaire.




Le Maire, entouré de députés de la circonscription, Hon. Charmaké Moussa Arreh et Ibrahim Ahmed Abdo, du sous-préfet Haybe Hared Gadid, ainsi que des membres du comité de soutien et de l’APE, a présidé une cérémonie où le symbole a rivalisé avec l’émotion. La délégation chinoise, composée notamment de l’Ambassadeur Hu Bin, de l’Attaché de défense Colonel-Major Hua Xiao, et de hauts responsables de la base militaire chinoise tels que les Capitaines de Vaisseau supérieurs Chen Weigong et Liu Changqing, a témoigné de la profondeur des liens entre Djibouti et Pékin.

Les dons, composés de vivres alimentaires, de tentes, et de citernes d’eau, proviennent de l’Ambassade de Chine à Djibouti et de la base militaire chinoise. Ces apports viennent compléter les efforts initiés par le Ministère des Affaires sociales et de la Solidarité, Qatar Charity et des commerçants locaux. Dans son allocution, l’Ambassadeur Hu Bin a souligné que cette contribution s’inscrivait dans une tradition d’“amitié et de solidarité entre les deux peuples”.



« En répondant à l’appel du Maire, nous renforçons davantage la coopération décentralisée entre nos villes et Djibouti », a-t-il affirmé, rappelant le rôle des relations locales comme prolongement des relations bilatérales. Le Maire Said Daoud Mohamed, en retour, a salué la générosité chinoise, qu’il a qualifiée de “gage d’une relation fructueuse et historique entre nos deux nations.” Faisant écho à l’esprit de fraternité insufflé par les leaders des deux pays, Ismaïl Omar Guelleh et Xi Jinping, le Maire a exprimé sa confiance en une reconstruction prochaine, évoquant la possibilité de voir renaître le “quartier chinois” de Djebel.

Au-delà des gestes, cette cérémonie a été l’occasion pour le Maire de rappeler les valeurs fondamentales de solidarité et d’unité nationale, réaffirmées récemment par le Président de la République lors de la Semaine nationale de la solidarité. « Nous ne devons jamais cesser de nous entraider », a-t-il déclaré, en saluant particulièrement la mobilisation exemplaire des jeunes Djebelois.




À l’approche du Ramadan, une période empreinte de partage et de spiritualité, le comité de soutien aux sinistrés de Djebel, par la voix de leur coordinateur, a tenu à exprimer leur reconnaissance envers la municipalité et ses partenaires. « Le Maire a su fédérer les énergies autour de notre quartier, incarnant les valeurs de solidarité qui font la force de notre nation », a-t-il conclu.





 Enfin, ce drame, bien que dévastateur, a révélé la résilience du peuple djiboutien et la solidité de ses alliances internationales. À Djebel, une lueur d’espoir s’est allumée, portée par l’humanité des uns et la fraternité des autres. En quittant la cérémonie, une évidence s’impose : à Djebel, le feu a détruit des murs, mais il n’a pas consumé les valeurs qui unissent et renforcent la communauté.

Communiqué de la présidence de la république

 La République de Djibouti, Présidente en exercice de l’IGAD, exprime sa profonde préoccupation face aux rapports faisant état de massacres et de violations des droits de l'homme contre des civils à Wad Madani, dans l'État d'Al-Jazirah, ainsi que dans d'autres régions du Soudan. Djibouti condamne sans équivoque ces actes et appelle à la reddition des comptes en traduisant les responsables en justice, tout en garantissant la protection des droits des civils.



Djibouti souligne la nécessité de prévenir une escalade supplémentaire de la crise soudanaise et ses répercussions potentielles sur les pays voisins. Elle appelle toutes les parties à faire preuve de retenue et à privilégier les efforts de désescalade.


Réaffirmant son engagement en faveur de la paix, Djibouti lance un appel pour une cessation immédiate du conflit au Soudan par un dialogue inclusif qui préserve l'unité, la sécurité et la stabilité de cette nation sœur.

 

Présidence de la République 

 Service Presse

Djibouti, le 18 Janvier 2025

Raila Odinga , la tragédie d’une ambition dévoyée

 Ce qui aurait pu marquer un tournant prometteur dans la politique africaine se transforme peu à peu en un récit amer, révélateur des dérives du pouvoir. Raila Odinga, ancien Premier ministre du Kenya, figure emblématique de nombreux combats politiques qualifiés de progressistes, avait une chance exceptionnelle : celle de devenir le président de la Commission de l’Union africaine (CUA) et d’incarner l’idéal d’une Afrique unie et ambitieuse. Pourtant, cette opportunité semble avoir été sacrifiée sur l’autel du calcul politique et du cynisme.


Sous le slogan porteur de “Raila for Africa”, sa campagne avait tout pour inspirer : promesses d’investissements dans les infrastructures, relance de l’intégration continentale, réponse énergique face aux défis sécuritaires. De quoi éveiller les espoirs d’une population africaine avide de changement. Mais au lieu de s’appuyer sur une vision audacieuse et des propositions substantielles comme son adversaire Mohamoud Ali Youssouf , Raila Odinga semble s’être embourbé dans des pratiques politiciennes douteuses. Selon des accusations récentes, sa candidature serait entachée de scandales de pots-de-vin destinés à acheter le soutien de certains chefs d’État.


Raila Odinga 

Si cette pratique révolte, elle n’a malheureusement rien d’inhabituel dans certaines sphères du pouvoir. L’idée que l’argent puisse l’emporter sur le mérite n’est pas nouvelle. Cependant, voir de telles manœuvres être utilisées pour briguer la présidence de la Commission de l’Union Africaine ( une institution censée symboliser l’unité et l’avenir du continent ) met en lumière un problème systémique inquiétant. Ce recours au clientélisme renforce la perception d’une classe dirigeante africaine trop souvent perçue comme déconnectée des aspirations populaires et focalisée sur ses propres intérêts.


Mais au-delà de l’indignation morale, une question cruciale émerge : quel type de leadership peut offrir un dirigeant qui accède au pouvoir par des moyens aussi douteux ? Une Commission élue à coups de tractations opaques plutôt qu’à travers une adhésion à des idées fortes peut-elle véritablement relever les défis immenses du continent ? Alors que l’Afrique fait face à des crises sécuritaires, économiques et sociales majeures, ce type de gouvernance risque d’accentuer les divisions plutôt que de les apaiser. En agissant de la sorte, Raila Odinga trahit non seulement ses promesses, mais également le potentiel qu’il incarnait. Loin de devenir un symbole de renouveau politique, il alimente l’image désabusée d’une politique africaine où l’argent et les intérêts privés prennent systématiquement le pas sur la compétence et le bien commun.


En effet, cette situation cause un double préjudice : d’une part, elle ternit l’héritage personnel de Raila Odinga, d’autre part, elle fragilise une institution essentielle pour l’avenir de l’Afrique. Une CUA dirigée par un président dont l’élection serait entachée d’irrégularités perdrait toute crédibilité pour promouvoir la transparence et l’intégrité, deux valeurs fondamentales pour le progrès du continent. Raila Odinga avait une occasion unique de devenir un acteur clé dans la construction d’une Afrique plus forte, plus solidaire et plus visionnaire. En cédant à des pratiques de clientélisme, il a non seulement gâché cette chance, mais il a également envoyé un signal déconcertant : celui d’une politique où les principes se négocient au service d’ambitions personnelles.


Enfin, l’Afrique mérite mieux. À l’heure où le continent se trouve à la croisée des chemins entre défis et opportunités, ses dirigeants doivent être choisis pour leur vision et leurs idées, non pour leur capacité à manipuler les rouages du pouvoir. Si la CUA veut être le moteur du développement africain, elle doit commencer par donner l’exemple en se prémunissant des pratiques qui sapent la démocratie et la confiance des citoyens.

Raila Odinga a manqué son rendez-vous avec l’histoire. Mais l’Afrique, elle, ne peut se permettre de manquer le sien.

jeudi 16 janvier 2025

Djibouti : Médecine et conquête de l’avenir

 Éditorial 

Djibouti franchit une étape marquante de son histoire, affirmant sa volonté d’avancer avec confiance et ambition. La remise des diplômes aux 250 premiers médecins formés localement incarne bien plus qu’un simple événement : c’est une pierre angulaire de notre développement. Ces nouveaux professionnels, fruits d’un effort collectif et d’une vision audacieuse, joueront un rôle clé dans l’amélioration de notre système de santé. Ils garantiront un accès équitable aux soins et contribueront à la mise en place d’une véritable couverture santé universelle.


Dans un monde où les ressources naturelles ne suffisent plus à assurer un développement durable, miser sur l’éducation, la formation et la recherche s’impose comme une évidence. À Djibouti, nous avons fait de cette priorité un véritable engagement stratégique. En valorisant notre potentiel intellectuel, nous posons les bases d’une souveraineté forte et d’une croissance pérenne. Former nos propres médecins aux normes internationales est une preuve éclatante de cette stratégie : c’est non seulement garantir des soins de qualité à notre population, mais aussi limiter les coûts liés à l’exode médical et renforcer notre autonomie sanitaire.



En effet, le succès rencontré dans le domaine de la médecine illustre un mouvement plus large. Dans quelques jours, Djibouti s’apprête à lancer son deuxième nano-satellite, consolidant ainsi sa position parmi les nations tournées vers l’innovation. Ce progrès technologique n’est pas qu’un exploit isolé, il symbolise une vision claire : celle d’un Djibouti capable de maîtriser les outils de demain. Qu’il s’agisse de médecine ou d’aéronautique, l’objectif reste le même : bâtir un pays autonome, résilient, et acteur majeur de son avenir.


Le président de la République, Son Excellence Ismail Omar Guelleh, a exprimé, dans son discours, sa profonde gratitude envers nos partenaires, notamment la Tunisie, pour leur soutien précieux dans l’établissement d’une faculté de médecine répondant aux normes internationales. Il a souligné que ce projet ambitieux marque une avancée majeure, mettant fin aux déplacements onéreux pour des soins spécialisés à l’étranger et offrant à notre pays une autonomie médicale essentielle.





Par ailleurs, ces progrès n’auraient pu être réalisés sans des partenariats solides. La coopération exemplaire avec la Tunisie, qui a joué un rôle déterminant dans la création de cette faculté, mérite une reconnaissance particulière. Leur expertise a permis de bâtir une institution de haut niveau, ouvrant une nouvelle ère pour le système de santé djiboutien. Ce partenariat fructueux renforce notre indépendance en matière de soins spécialisés et garantit des solutions médicales accessibles directement sur notre sol, au bénéfice de l’ensemble de la population.





 Si cette journée est celle de la célébration, elle marque également un appel à poursuivre l’effort. Les défis restent nombreux, mais l’élan est donné. En unissant nos forces, en cultivant nos talents et en continuant à innover, Djibouti a tout pour devenir un exemple de résilience et de prospérité en Afrique et au-delà. À travers cet accomplissement, nous honorons nos valeurs fondamentales : l’audace, le travail et la solidarité. Et nous proclamons avec conviction que l’avenir de Djibouti s’écrit avec ambition et détermination.

mardi 14 janvier 2025

Hajiya Kadra Mohamoud Haid , une voix pour la cause féminine et de la famille

 Depuis 1999, Mme Kadra Mohamoud Haid incarne le rôle de Première Dame de la République de Djibouti, un titre qu’elle a façonné avec une profondeur d’engagement rare et une vision déterminée. demeure l’une des figures les plus influentes de la scène sociale djiboutienne.


Née dans une famille où valeurs et éducation étaient primordiales, Kadra Mohamoud Haid a grandi dans un environnement douillet et chaleureux. Son parcours scolaire débuta chez les sœurs franciscaines à l’école de la Nativité, avant de se poursuivre au Lycée d’État, où elle brilla par son sérieux et son intelligence. Sensible aux besoins de son pays et en phase avec une demande croissante d’enseignants locaux, elle choisit la voie de l’enseignement, suivant les traces de sa sœur aînée, Mme Chafiqa.



Dans les années 1970, elle se consacra à l’éducation, enseignant dans des écoles emblématiques de Djibouti, comme Boulaos, la Plaine ou encore le Stade. Son rôle ne se limitait pas à la salle de classe ; en tant que bibliothécaire et gestionnaire, elle encourageait les jeunes à fréquenter la bibliothèque, voyant dans les livres un outil d’émancipation intellectuelle et sociale. Son militantisme remonte également à cette époque. Active dans le LPAI aux côtés de Hassan Gouled Aptidon, puis au sein du RPP dès 1979, elle posait les jalons d’un engagement politique qui allait se renforcer au fil des décennies.



En tant que présidente de l’Union Nationale des Femmes Djiboutiennes (UNFD), Mme Kadra Mohamoud Haid s’est imposée comme une ardente défenseure des droits des femmes et une adversaire résolue des mutilations génitales féminines. Grâce à son leadership, Djibouti a adopté des lois progressistes interdisant ces pratiques néfastes. Sa détermination dans cette lutte a été saluée lors de la Conférence sous-régionale sur l’élimination des MGF en 2005, où Emma Bonino, alors commissaire européenne, avait souligné que « le sens de l’engagement humaniste de la Première Dame a permis à Djibouti d’améliorer la promotion du genre dans tous ses aspects ».


Surnommée « la dame de fer » par ses compatriotes, Mme Kadra Mohamoud Haid a redéfini le rôle de Première Dame à Djibouti, en y insufflant une dimension profondément humaniste. Forte de son charisme, elle a su transformer ce poste en une plateforme d’influence pour les plus vulnérables.Aujourd’hui, elle demeure un pilier de la promotion du genre et du développement social à Djibouti. À travers ses initiatives, Kadra Mohamoud Haid laisse une empreinte indélébile, démontrant que derrière chaque avancée significative se trouve souvent la vision d’une femme forte et dévouée.

Crédit photo : D.L 

M.G 

samedi 11 janvier 2025

MASS , un engagement fort pour un avenir solidaire

 

Ce samedi matin, sous la houlette de Son Excellence Ismail Omar Guelleh, Président de la République, le stade omnisport d’Ali-Sabieh a vibré au rythme d’une cérémonie d’ouverture marquante de la Semaine Nationale de la Solidarité, édition 2025. Un moment d’une rare intensité qui, une fois encore, a permis au peuple djiboutien de démontrer son attachement indéfectible aux valeurs de solidarité, fondamentales pour notre cohésion et notre unité nationale.


En ce jour d’émotion collective, Djiboutiens et Djiboutiennes venus de toutes les régions ont convergé, symbolisant la puissance d’une nation unie. Cette mobilisation exceptionnelle reflète l’adhésion sans faille de notre peuple aux grandes initiatives sociales menées par notre Président, l’artisan d’une politique sociale qui change les vies. Le Fonds Social Djiboutien (FSD) et l’Initiative Nationale pour le Développement Social (INDS) en sont des exemples flagrants, des initiatives qui, chaque jour, améliorent le quotidien des citoyens, tout en consolidant l’idée d’une société plus juste et plus équitable.



Loin d’être un simple événement, cette cérémonie a été un moment de réflexion sur l’avenir, une réaffirmation du soutien populaire au leadership visionnaire du Président Guelleh. Si l’on regarde de plus près, il devient évident que ce sont ces actions concrètes, menées avec rigueur et persévérance, qui permettent à notre nation de se stabiliser tout en préparant les bases d’un futur plus prospère. Chaque étape franchie, chaque programme déployé, s’inscrit dans la volonté de faire de Djibouti un modèle de solidarité et de cohésion.




L’unité a également été au cœur de cet événement, avec la présence de la Première Dame, Mme Kadra Mahamoud Haïd, accompagnée d’un collectif de femmes venues des quatre coins du pays, renforçant ainsi l’idée d’une nation solidaire, où chacun, indépendamment de son genre, de son origine ou de sa situation géographique, a sa place. Ainsi, Ali-Sabieh, cet endroit symbolique, a donc été le témoin d’une rencontre inédite, renforçant l’idée que notre développement passe par une solidarité sans faille, et que notre stabilité, tant politique que sociale, est le fruit de notre engagement collectif. Dans cette dynamique, nous, Djiboutiens, écrivons ensemble l’histoire d’une nation qui se construit sur des bases solides et des valeurs immuables.



 Aujourd’hui, plus que jamais, l’appel à l’unité et à la solidarité n’a jamais été aussi pertinent. Que ce soit à travers des initiatives sociales comme celles du ministère des Affaires Sociales et de la Solidarité, ou dans la simple présence de notre peuple uni autour de ces projets, nous sommes témoins d’un moment où l’avenir de Djibouti s’écrit avec audace, espoir et détermination.

Enfin, la Semaine Nationale de la Solidarité 2025, placée sous le thème « Le développement social, socle de notre cohésion nationale », nous invite à un bilan de l’année écoulée, tout en nous offrant une vision claire des perspectives à venir. Dans ce cheminement, c’est toute la nation qui avance, résolue à bâtir un avenir où solidarité et développement vont de pair, pour un Djibouti plus fort, plus uni et plus solidaire que jamais.

Les télégrammes de félicitation affluent à la Présidence de la République à l'occasion de la Fête nationale

  À l'occasion de la célébration de l'anniversaire de l'Indépendance de la République de Djibouti, de nombreux dirigeants du mon...