lundi 12 mai 2025

Djibouti et l’Union Européenne renforcent leur partenariat pour l’emploi des jeunes

 Une cérémonie de signature marquant un nouveau chapitre dans la coopération entre la République de Djibouti et l’Union Européenne (UE) s’est tenue ce jour sous la présidence du Ministre de l’Économie et des Finances, chargé de l’Industrie, Monsieur Ilyas Moussa Dawaleh.  

Ce partenariat stratégique, doté d’un financement de 3,8 millions d’euros (soit plus de 763 millions de francs djiboutiens), vise à soutenir les efforts du gouvernement djiboutien en matière de développement socio-économique, avec un accent particulier sur l’insertion professionnelle des jeunes, un enjeu crucial pour le pays.  



Un engagement multilatéral en faveur de la jeunesse


La cérémonie a réuni d’éminentes personnalités, dont Madame Denisa-Elena IONETE, Ambassadrice de l’Union Européenne à Djibouti, Madame Dana PURCARESCU, Ambassadrice de France, ainsi que Monsieur Eric DE GUERPEL, Directeur de l’Agence Française de Développement (AFD) à Djibouti. Étaient également présents Monsieur Omar Abdi Saïd, Ministre du Travail, de la Formalisation et de la Protection Sociale, et Monsieur Youssouf Moussa Dawaleh, Président de la Chambre de Commerce de Djibouti (CCD).  


Ce projet, intitulé “UE-Jeunesse Djibouti (UEJD)" , s’articule autour de deux axes majeurs :  

1. L’amélioration de la formation et de l’insertion professionnelle , en particulier pour les jeunes et les femmes, afin de répondre aux défis du chômage.  

2. Le renforcement du dialogue institutionnel entre les acteurs économiques et les centres de formation, pour une meilleure adéquation entre les compétences enseignées et les besoins du marché.  

 


Avec un taux de chômage élevé parmi sa jeunesse, Djibouti place ce projet au cœur de sa stratégie de croissance inclusive. Le Ministre Ilyas Moussa Dawaleh a souligné que “cet investissement dans le capital humain est un levier essentiel pour la compétitivité des entreprises et la stabilité sociale". 

Pour sa part, l’Ambassadrice de l’UE, Madame IONETE, a réaffirmé l’engagement européen aux côtés de Djibouti  "Ce projet illustre notre volonté commune de construire un avenir meilleur pour les jeunes Djiboutiens, en leur offrant des opportunités durables". 

 

En outre , une collaboration étroite avec le secteur privé sera déterminante pour la réussite de cette initiative. La Chambre de Commerce de Djibouti, représentée par son Président Youssouf Moussa Dawaleh, a salué cette avancée, soulignant que “l’employabilité des jeunes est un enjeu national nécessitant une mobilisation collective".



Enfin ,ce financement s’inscrit dans le cadre plus large du soutien continu de l’UE et de l’AFD à Djibouti, renforçant ainsi les liens économiques et de développement entre les partenaires.  


 



Le Président de la Commission de l’Union africaine dévoile une vision audacieuse pour un continent maître de son destin

 Dans une déclaration solennelle et résolument tournée vers l’avenir, Son Excellence Mahmoud Ali Youssouf, Président de la Commission de l’Union africaine (CUA), a exposé ce lundi à Addis-Abeba les grandes lignes d’une stratégie continentale ambitieuse, axée sur la paix, l’autonomie financière, l’innovation et le leadership mondial. Devant un parterre de journalistes africains et internationaux réunis au siège de l’organisation panafricaine, le Président Youssouf a réaffirmé l’engagement de l’UA à faire de l’Agenda 2063 une réalité tangible pour les peuples africains.

« Sans stabilité, aucun progrès durable n’est possible », a-t-il martelé d’emblée. Le Président de la CUA a mis l’accent sur la nécessité de consolider les mécanismes africains de prévention des conflits, de mettre pleinement en œuvre la Force africaine en attente (FAA) et de renforcer les systèmes d’alerte précoce, face à la recrudescence du terrorisme et aux changements anticonstitutionnels de gouvernements. « L’Afrique doit assumer sa propre sécurité », a-t-il déclaré avec fermeté, en appelant à une approche collective et souveraine des défis sécuritaires.



Conscient des limites d’une dépendance prolongée aux financements extérieurs, le Président Youssouf a présenté une série de réformes financières majeures :

Le lancement d’obligations de la diaspora, pour capter une partie des 95 milliards de dollars de transferts annuels des Africains vivant à l’étranger.

L’instauration d’une taxe continentale sur le commerce électronique, levier innovant pour accompagner la croissance numérique du continent.

La création d’un Fonds souverain africain, instrument stratégique pour garantir une stabilité macroéconomique pérenne.

« Il est temps pour l’Afrique d’inventer ses propres instruments de développement », a-t-il lancé, appelant à une mobilisation accrue des ressources internes et à une solidarité financière panafricaine.


S’exprimant sur la place de l’Afrique dans les enceintes internationales, le Président de la CUA a plaidé pour une réforme de l’architecture financière mondiale et une participation africaine renforcée dans les négociations commerciales et économiques globales. Il a notamment évoqué le rôle croissant du continent au sein du G20 :

« L’Afrique ne sera plus un simple spectateur, mais un acteur incontournable dans la gouvernance mondiale. »


Egalement, le Président Mohamoud Ali Youssouf a réaffirmé l’importance cruciale de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) comme moteur de l’intégration économique. Il a appelé à :

L’élimination rapide des barrières non tarifaires et des goulets logistiques.

Une augmentation de plus de 50 % du commerce intra-africain.

La création d’emplois massifs à travers des chaînes de valeur régionales intégrées.


En outre, face au défi démographique, le chef de la Commission a annoncé plusieurs mesures pour transformer la jeunesse africaine en fer de lance du progrès :

Une Loi-type continentale sur les start-ups, destinée à stimuler l’entrepreneuriat jeune.

Une Stratégie africaine de l’intelligence artificielle, axée sur une innovation inclusive, éthique et souveraine.

Des programmes massifs de formation numérique, pour préparer les jeunes aux métiers de demain et combler la fracture technologique.


À quelques jours de la 3ᵉ Réunion ministérielle UA-UE sur les affaires étrangères, le Président Youssouf a réaffirmé l’intention de l’Union africaine de consolider ses partenariats stratégiques avec l’Europe, les pays du BRICS et le monde arabe. Infrastructures, énergies renouvelables et réformes multilatérales figurent parmi les domaines prioritaires de coopération.


Clôturant son intervention par un message fort, le Président de la Commission a lancé un vibrant appel à l’unité et au leadership africain : 

« L’Afrique doit écrire sa propre histoire avec audace, discipline et unité. Notre avenir ne sera plus dicté de l’extérieur, il sera forgé par notre volonté collective. »



Par cette prise de parole d’envergure, le Président Mahmoud Ali Youssouf trace les contours d’un continent confiant, résilient et tourné vers l’action. Une Afrique qui ne se contente plus d’espérer, mais qui choisit de construire.


 



Le Forum arabo-européen de Riyad, une étape décisive vers des villes durables et solidaires

 Sous le haut patronage de Son Altesse l'Émir Dr. Faisal bin Abdulaziz bin Ayyaf , maire de la région de Riyad et président de l'Institut arabe de développement urbain, le premier Forum de dialogue des villes arabo-européennes a marqué un tournant dans la coopération urbaine internationale. Du 9 au 13 mai, la capitale saoudienne a transformé les discours en engagements concrets, avec une attention particulière portée aux projets innovants présentés par les villes du Sud, notamment les dix initiatives phares de Djibouti-ville qui ont retenu dans les priorités.




Dans son allocution d'ouverture, Son Altesse l'Émir Dr. Faisal bin Abdulaziz bin Ayyaf a insisté sur l'impératif de dépasser le stade des déclarations d'intention pour passer à la réalisation effective des projets. Une position fermement appuyée par les participants, avec un accent particulier sur les  projets djiboutiens présentés par le maire M. Saïd Daoud Mohamed , couvrant des domaines aussi variés que la gestion des déchets, les énergies renouvelables et les transports durables.  

"Les villes arabes ne manquent pas d'idées, mais de moyens pour les concrétiser. Ce forum doit être l'occasion de transformer ces projets en réalisations tangibles", a déclaré le maire de Riyad, annonçant la création d'un fonds d'accompagnement technique destiné spécifiquement à soutenir les initiatives les plus prometteuses, parmi lesquelles plusieurs propositions djiboutiennes figurent en bonne place.




Djibouti-ville, laboratoire d'innovation urbaine


Parmi les projets présentés, Djibouti -Ville Zéro Déchet et Green City ont particulièrement retenu l'attention, symbolisant la volonté de la capitale djiboutienne de se positionner comme pionnière de l'écologie urbaine dans la Corne de l'Afrique. Le maire de Djibouti a souligné que "ces initiatives ne sont pas que des concepts, mais des programmes déjà en cours de mise en œuvre, qui méritent d'être amplifiés par des partenariats internationaux".


En marge du Forum des villes arabo-européennes à Riyad, la délégation djiboutienne a activement noué des partenariats stratégiques, notamment lors de rencontres bilatérales avec les représentants de Rabat, Beyrouth et Nancy.

Parmi ces échanges fructueux, le maire de Djibouti-ville, M. Said Daoud Mohamed, a eu un entretien particulièrement chaleureux avec son homologue de Rabat, Mme Fatiha El Moudni. Les deux maires, entourés de leurs équipes, ont approfondi leur coopération autour de projets urbains durables, avec un accent particulier sur le projet d'extension de Balbala, dont le lancement avait marqué la précédente visite de la maire marocaine à Djibouti. Ce partenariat municipal, enrichi par les affinités culturelles et historiques entre les deux nations, témoigne de la dynamique des relations entre Djibouti et le Maroc.



En effet, ces rencontres ont mis en lumière le rôle grandissant de la diplomatie urbaine dans les relations internationales. Au-delà des cadres institutionnels, c'est une vision partagée d'un développement urbain résilient et solidaire qui rapproche Djibouti-ville de ses partenaires, avec l'appui des dirigeants nationaux. Le forum de Riyad s'est ainsi imposé comme une plateforme privilégiée pour transformer ces coopérations décentralisées en réalisations concrètes, confirmant le rôle pivot des collectivités locales face aux défis urbains contemporains.


L'Arabie saoudite, catalyseur d'une nouvelle diplomatie urbaine


A travers ce forum, Riyad confirme son rôle de plateforme incontournable du dialogue intercontinental . La capitale saoudienne, transformée par la Vision 2030, montre l'exemple en matière d'innovation urbaine tout en jouant les facilitateurs pour les villes du Sud. "Nous ne voulons pas être simplement des observateurs, mais des acteurs engagés dans la transformation urbaine de nos partenaires", a insisté Son Altesse l'Émir Dr. Faisal bin Abdulaziz bin Ayyaf.


Ce forum aura permis de briser plusieurs tabous, notamment sur la capacité des villes africaines à proposer des solutions adaptées à leurs contextes. Comme l'a souligné M. Saïd Daoud Mohamed, "l'époque où les solutions nous étaient imposées est révolue. Aujourd'hui, nous proposons, et nous attendons des partenaires qu'ils nous accompagnent dans la réalisation".


La feuille de route est désormais tracée : les projets djiboutiens , comme ceux d'autres villes du Sud, bénéficieront d'un suivi particulier dans les mois à venir, avec des réunions techniques prévues dès juin prochain à Djibouti. Une manière concrète de transformer l'essai de ce premier forum en réalisations pérennes.


Alors que se referme ce premier chapitre du dialogue arabo-européen, une certitude s'impose : l'urbanisme du XXIe siècle se co-construit , dans le respect mutuel et la complémentarité des expertises. Djibouti-ville, avec ses dix projets ambitieux, et Riyad, par son engagement sans faille, montrent la voie d'une coopération urbaine renouvelée, où les mots laissent enfin place aux réalisations.  



Enfin, le véritable succès de ce forum se mesurera dans les mois à venir, à l'aune des premières concrétisations sur le terrain. Une chose est sûre : le partenariat entre Riyad et Djibouti-ville, scellé autour de ces projets concrets, pourrait bien devenir un modèle pour la coopération Sud-Sud en matière de développement urbain durable.


dimanche 11 mai 2025

Riyad : Retrouvailles fructueuses entre les maires de Djibouti et de Rabat au Forum arabo-européen

 En marge du Forum sur le dialogue des villes arabo-européennes, qui s’est ouvert ce jour à Riyad, le maire de Djibouti-ville, M. Said Daoud Mohamed, a retrouvé son homologue de Rabat, Mme Fatiha El Moudni. Une rencontre empreinte de chaleur et de fraternité, à l’image des liens profonds unissant leurs deux cités et, au-delà, les peuples djiboutien et marocain.

Accompagnée de Mme Hayat, membre influente du cabinet de la mairie de Rabat, la maire de la capitale marocaine s’est entretenue avec son partenaire djiboutien autour des perspectives de coopération entre leurs administrations respectives. Tous deux ont réaffirmé leur attachement à un partenariat structurant centré sur le développement urbain durable, au service des citoyens.



Ce rapprochement municipal, ancré dans des affinités culturelles, linguistiques et spirituelles ( arabes, africaines, francophones et musulmanes ) , dépasse les simples considérations institutionnelles. Il s’appuie sur une amitié sincère entre les deux édiles, nourrie par une vision partagée d’un avenir urbain résilient et solidaire.


Il faut rappeler que M. Said Daoud avait accueilli en grande pompe Mme El Moudni à Djibouti, à l’occasion de la concrétisation de leur partenariat autour du projet d’extension et d’urbanisation de Balbala, précisément dans le secteur de Cheikh Moussa. Une initiative ambitieuse, symbole d’une coopération décentralisée vivante, ancrée dans le concret.


Cette dynamique bilatérale ne saurait être dissociée du climat politique favorable entre Djibouti et le Maroc, deux nations liées par une histoire d’amitié et de solidarité. Les relations entre le président Ismaïl Omar Guelleh et le roi Mohammed VI, fondées sur la confiance et la convergence stratégique, donnent une assise solide aux échanges entre les villes.



À Riyad, cette entrevue n’a pas seulement réchauffé les relations entre deux élus, elle a également réaffirmé le rôle central des collectivités locales dans la diplomatie de proximité. Une diplomatie qui, à l’instar du forum arabo-européen, place les villes au cœur des solutions aux défis partagés du XXIe siècle.

À Riyad, le maire de Djibouti-ville porte la voix des villes du Sud au premier Forum arabo-européen

 C’est à la tête d’une importante délégation municipale que le maire de Djibouti-ville, M. Saïd Daoud Mohamed, a foulé le sol saoudien ce samedi 11 mai. Destination : Riyad, qui accueille pour la première fois le Forum de dialogue des villes arabo-européennes, un nouveau rendez-vous international pensé pour rapprocher les capitales du monde arabe et de l’Europe autour d’une ambition commune : bâtir des partenariats urbains durables pour un avenir meilleur.

Coorganisé par la municipalité de Riyad, l’Institut arabe pour le développement urbain, la plateforme européenne PLATFORMA, et l’Agence des municipalités néerlandaises (VNG International), ce forum réunit jusqu’au 13 mai une pléiade d’élus locaux, de décideurs urbains, d’organisations internationales et de bailleurs de fonds. Le programme est dense : tables rondes, ateliers thématiques, marché d’idées, et visites de projets urbains emblématiques ; autant d’occasions de dialogue et de coopération.



Djibouti, un modèle du Sud en mutation


Figure montante de la diplomatie municipale dans la Corne de l’Afrique, Saïd Daoud Mohamed s’impose progressivement comme une voix respectée sur la scène urbaine internationale. Porté par une vision pragmatique et résolument tournée vers l’innovation, le maire de Djibouti-ville incarne une nouvelle génération d’élus locaux africains, capables de conjuguer engagement territorial et rayonnement global. Sa participation active aux débats de Riyad, doublée de plusieurs rencontres stratégiques, témoigne de sa volonté d’inscrire sa ville dans un réseau dynamique de partenariats urbains, fondés sur des réponses concrètes aux défis communs : résilience, inclusion, gouvernance et durabilité.


Le forum lui a offert une tribune précieuse pour mettre en lumière la dynamique urbaine impulsée à Djibouti, dans le sillage de la vision du président Ismaïl Omar Guelleh en matière de développement des villes. Une approche fondée sur l’équilibre entre croissance économique, préservation de l’environnement et justice sociale. À travers une série d’interventions ciblées, le maire a présenté les grandes lignes de cette stratégie, en particulier son programme phare « Djib-Ville Zéro Déchet», qui entend faire de la capitale djiboutienne un modèle régional de gestion responsable des déchets et d’écologie urbaine.


L’un des piliers majeurs de cette transformation, le projet « Djibouti Green City », vise à positionner la ville comme un laboratoire de transition verte, à la croisée des enjeux climatiques et de l’innovation urbaine. « La coopération entre villes ne doit pas être un slogan, mais un levier pour répondre aux défis partagés : changement climatique, services urbains de qualité, et gouvernance territoriale », a souligné Saïd Daoud Mohamed lors de la session plénière d’ouverture, appelant à un dialogue d’égal à égal entre les collectivités du Nord et celles du Sud.


Riyad, vitrine d’une transformation urbaine rapide


Ville hôte, Riyad assume pleinement son rôle de trait d’union entre deux rives du bassin méditerranéen. Dans le sillage de la Vision 2030 portée par le royaume saoudien, la capitale s’est métamorphosée en pôle régional de l’innovation urbaine. Le choix de la ville pour accueillir ce premier forum ne doit rien au hasard : elle incarne une volonté affirmée de jouer un rôle moteur dans la diplomatie des villes et la coopération municipale transfrontalière.


Dans les coulisses, les rencontres bilatérales se multiplient. De nombreux maires cherchent à nouer des partenariats autour de projets concrets : mobilité durable, gestion intelligente des ressources, inclusion sociale, ou encore accès équitable aux services publics.



En participant à cet événement stratégique, la ville de Djibouti entend affirmer son rôle croissant dans l’écosystème urbain international. « Nous voulons être à la table des solutions, pas seulement au banc des récipiendaires de projets importés », confie un membre de la délégation djiboutienne. Le message est clair : les villes africaines ne sont plus seulement des territoires en attente de soutien, elles deviennent des actrices à part entière de l’innovation urbaine mondiale.


Riyad donne le ton. Et Djibouti ville , forte de sa trajectoire, entend bien en saisir l’écho.


samedi 10 mai 2025

Et si on se disait la vérité, rien que la vérité…

 Dans le contexte politique actuel, il est essentiel de reconnaître le caractère déterminé et engagé du Président et de son Secrétaire Général, M. Ilyas Moussa Dawaleh, un véritable fidèle qui incarne la loyauté et la dévotion envers les idéaux du Parti. La vision du Président pour le pays, axée sur le progrès et le développement, contraste fortement avec une opposition qui semble dépourvue de tout projet constructif.


Il est frappant de constater que cette opposition, tel un mollusque, évolue dans un environnement où elle peine à proposer une alternative tangible. En lieu et place d’un programme politique clair et d’une vision pour l’avenir, le discours de l’opposition s’est souvent limité à des attaques personnelles visant la famille présidentielle, ce qui montre une grande superficialité dans leurs véritables ambitions politiques. 



Ce comportement n’est pas seulement décevant, il est également nuisible à la démocratie, car il détourne l’attention des enjeux cruciaux qui devraient être au cœur du débat public.

L’opposition semble oublier son rôle fondamental d’acteur de l’alternance politique. Au lieu de s’engager de manière constructive et de proposer des solutions viables, elle choisit trop souvent la voie de la critique destructrice, s’érigeant comme des journalistes au lieu de responsables politiques. Ce choix stratégique ne fait que ternir son image auprès des électeurs, qui attendent des alternatives significatives, plutôt que des discours sans fondement.


Dans ce cadre, l’adage « les chiens aboient, et la caravane passe » prend tout son sens. Les vociférations de l’opposition ne sauraient entraver le chemin que la majorité et ses dirigeants se sont engagés à suivre pour bâtir un avenir meilleur. 


Le Président  continue à avancer, forts de ses convictions et soutenus par le peuple djiboutien dans toute sa diversité, travaillant sans relâche pour garantir le développement et le bien-être du pays.


Il est donc crucial de soutenir pleinement cette dynamique, d’encourager la vision positive incarnée par le Président et son équipe, et de rappeler à l’opposition qu’un véritable débat démocratique nécessite des propositions solides et une critique constructive, plutôt qu’une opposition stérile et démagogique.


L’opposition, souvent perçue comme une coquille vide, semble animée par des valeurs sans fondements véritablement porteurs. Elle apparaît davantage préoccupée par les attaques personnelles que par l’élaboration de solutions concrètes pour les défis que notre pays doit relever. 


Dans ce contexte, il est essentiel de rappeler que l’avenir de Djibouti appartient avant tout à son peuple souverain.


Le peuple, par son choix et sa volonté, a le pouvoir de déterminer la direction que doit prendre notre nation. S'il le souhaite, il peut encourager le Président IOG à poursuivre sa mission au service de la nation, que ce soit par le changement de la Constitution ou par un prolongement de son mandat de deux années. 


Ce soutien populaire, largement étayé, témoigne de l’admiration considérable que le Président IOG suscite à Djibouti et dans la région.


Cette popularité n’est pas le fruit du hasard, mais bien le résultat d’un engagement constant en faveur du développement, de la paix et de la stabilité. 


Sous sa direction, notre pays a su surmonter des défis importants, et il continue d’avancer vers un avenir prometteur. 


En étant en phase avec les aspirations de son peuple, le Président a su rassembler et unir, et cela ne peut être ignoré par une opposition qui se complait dans la critique plutôt que de proposer un avenir viable et radieux.


Il est crucial que l’opposition prenne conscience de son rôle dans la construction de l’avenir politique de notre pays. 


Au lieu de s’opposer pour le simple plaisir d’insulter, elle devrait canaliser ses efforts vers l'élaboration d'une vision constructive pour Djibouti. 


Le peuple attend de ses représentants qu’ils soient des agents de changement et non des critiques stériles. 


Les valeurs et le programme doivent primer sur les querelles personnelles pour l'intérêt général.



En somme, les Djiboutiens sont en capacité de faire entendre leur voix. Si les circonstances l'exigent, ils n'hésiteront pas à soutenir le Président IOG dans la continuité de ses efforts pour un Djibouti prospère, mettant ainsi au défi toute opposition dénuée de substance. L'avenir est entre les mains du peuple, et ce dernier sait reconnaître ses véritables leaders.

Les télégrammes de félicitation affluent à la Présidence de la République à l'occasion de la Fête nationale

  À l'occasion de la célébration de l'anniversaire de l'Indépendance de la République de Djibouti, de nombreux dirigeants du mon...