lundi 3 février 2025

Tanger-Djibouti , un jumelage stratégique au service de l’unité arabe


   Certaines signatures traduisent une intention, d’autres écrivent l’histoire. Celle apposée aujourd’hui à Tanger appartient indéniablement à la seconde catégorie. En officialisant un jumelage entre Djibouti-ville et Tanger, M. Said Daoud Mohamed, maire de Djibouti, et M. Mounir Laymouri, président du Conseil communal de Tanger, ont posé les bases d’un partenariat municipal ambitieux, tissant ainsi un nouveau lien entre l’Afrique et le monde arabe.


La cérémonie, marquée par un protocole empreint de solennité, s’est tenue sous le regard attentif du secrétaire général de l’Organisation des villes arabes, M. Abderrahman Al-Asfour. Sa présence en terre marocaine témoignait de l’importance stratégique de l’événement. À ses côtés, de nombreux responsables municipaux de grandes métropoles arabes, dont Doha et les deux Tripoli (Liban et Libye), illustrant l’essor d’une coopération intercommunale qui dépasse désormais le cadre des relations bilatérales classiques.



Si le Maroc et Djibouti entretiennent depuis longtemps des liens solides, ce pacte urbain ouvre une nouvelle page, plaçant le développement local au cœur du rapprochement entre les deux nations. Mobilité urbaine, gestion des infrastructures, échanges économiques et culturels : autant de domaines dans lesquels Tanger et Djibouti, véritables portes d’entrée vers leurs continents respectifs, ont tout à gagner en collaborant.


Mais au-delà des aspects techniques, cette alliance revêt une portée symbolique forte. Tanger, ville carrefour entre l’Atlantique et la Méditerranée, et Djibouti, sentinelle de la mer Rouge, partagent une vision commune : celle d’un monde arabe misant sur des synergies concrètes, où les municipalités jouent désormais un rôle clé sur la scène diplomatique.



Par cet accord, Tanger et Djibouti ne se contentent pas d’unir leurs trajectoires urbaines ; elles envoient un signal clair : celui d’une coopération Sud-Sud qui dépasse les déclarations d’intention pour se traduire en actions concrètes.

Djibouti-Al-Qods , un jumelage au-delà du symbole

 Le geste est fort, le symbole puissant. À l’issue  de la 62ᵉ session du Conseil exécutif de l’Organisation des villes arabes, la ville de Djibouti et celle d’Al-Qods ont officialisé aujourd’hui ce qui relevait déjà de l’évidence : un partenariat scellé par l’histoire, nourri par la fraternité et renforcé par la volonté politique.


C’est dans la ville marocaine de Tanger que le maire de Djibouti-ville, Said Daoud Mohamed, et le gouverneur d’Al-Qods, Adnan Ghait, ont apposé leur signature sur un mémorandum de jumelage. Un document qui, au-delà de la simple formalité, trace les contours d’une coopération plus étroite entre les deux capitales. Échanges d’expertises municipales, partages d’expériences en matière de gouvernance urbaine, développement de projets communs : autant de leviers sur lesquels les deux villes comptent s’appuyer pour concrétiser leur engagement.



En effet, la cérémonie s’est déroulée sous l’égide du secrétaire général de l’Organisation des villes arabes, Abderrahman Al-Asfour, et en présence de plusieurs figures du monde municipal arabe, parmi lesquelles les maires de Doha, de Tripoli (Liban) et de Tripoli (Libye). L’ambassadeur de Djibouti au Maroc, Mohamed Douhour Hersi, était également de la partie, soulignant l’importance diplomatique de cet accord.


Mais ce jumelage dépasse largement la sphère administrative. Il s’inscrit dans une dynamique plus large, celle de la solidarité indéfectible entre Djibouti et la Palestine. Depuis toujours, Djibouti fait entendre sa voix en faveur de la cause palestinienne sur toutes les tribunes internationales. Cette alliance municipale vient ainsi inscrire dans le marbre une relation qui n’a jamais été aussi proche sur le plan politique et moral.


À l’heure où Al-Qods demeure au cœur des tensions et des convoitises, l’initiative djiboutienne prend une résonance particulière. Elle rappelle que les liens entre les peuples arabes ne sont pas qu’une affaire de déclarations diplomatiques mais aussi de solidarité concrète, de coopération pragmatique et d’engagement mutuel.


Dans les couloirs feutrés de la rencontre de Tanger, on parlait d’un « pacte du cœur ». Une alliance qui, loin d’être un simple échange de signatures, marque une volonté commune : celle de faire vivre la fraternité au-delà des discours et de donner un sens concret à la coopération entre les villes du monde arabe.

Mohamoud Ali Youssouf reçu par le président égyptien Abdel Fattah Al-Sissi

 Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale , S.E. Mohamoud Ali Youssouf, en lice pour la présidence de la Commission de l’Union africaine, a été accueilli ce jour au Caire par le Président égyptien, S.E. Abdel Fattah Al-Sissi. 


Lors de cet entretien, les deux dirigeants ont échangé sur le renforcement des relations bilatérales entre Djibouti et l’Égypte, deux nations liées par une histoire et une fraternité solides. Ils ont également abordé plusieurs enjeux régionaux et continentaux d’intérêt commun, soulignant leur engagement mutuel en faveur de la paix, de la stabilité et du développement en Afrique. À l’issue de la rencontre, le MAECI a tenu une conférence de presse pour partager les grandes lignes de sa vision pour le continent en tant que candidat à la présidence de la commission de l’Union Africaine. 



Le président Al-Sissi a salué le rôle stratégique de Djibouti dans la promotion de la paix et de l’intégration régionale, tandis que le ministre Mohamoud Ali Youssouf a insisté sur l’importance de l’unité africaine et de la coopération face aux défis auxquels le continent est confronté.

En effet, cette  visite s’inscrit dans le cadre des consultations diplomatiques engagées par le chef de la diplomatie djiboutienne, qui poursuit activement le soutien des États membres de l’Union africaine pour sa candidature. Son programme met en avant des priorités clés telles que la réforme institutionnelle, l’intégration économique et le renforcement de la coopération sécuritaire à l’échelle du continent.



Par ailleurs, Djibouti et l’Égypte entretiennent des relations privilégiées, caractérisées par une coopération croissante dans les domaines politique, économique et sécuritaire. Cette rencontre illustre la volonté des deux pays d’intensifier leur partenariat et de collaborer étroitement pour concrétiser les aspirations africaines.


À l’approche de l’élection à la tête de la Commission de l’Union africaine, cette entrevue marque une étape clé dans la stratégie diplomatique de Djibouti, qui entend faire valoir sa vision et ses ambitions pour l’avenir de l’organisation panafricaine.

dimanche 2 février 2025

La Mairie de Djibouti participe aux travaux de la 62ᵉ session du Conseil exécutif de l’Organisation des Villes Arabes à Tanger

 La Ville de Djibouti marque une avancée majeure dans son engagement international en participant activement aux travaux de la 62ᵉ session du Conseil exécutif de l’Organisation des Villes Arabes, qui se tient actuellement à Tanger. Représentée par son maire, M. Said Daoud Mohamed, la capitale djiboutienne affirme son rôle dans le dialogue interurbain arabe et renforce ses relations avec les grandes villes de la région. M. Said Daoud est accompagné par Mme Saida Zaine Ahmad, directrice adjointe, de la direction techniques de la Mairie .


Le Secrétaire général de l’Organisation des villes arabes, M. Abderrahman Al-Asfour, a insisté sur la nécessité d’unifier les concepts urbains et de planification pour construire des villes arabes durables, conciliant modernité et identité patrimoniale. Lors de l’ouverture de la 62ᵉ session du Conseil exécutif de l’organisation, il a plaidé pour un renforcement de l’action arabe commune en faveur des villes du futur. Il a également exprimé sa solidarité avec les villes palestiniennes, libanaises, soudanaises et syriennes, affectées par diverses crises, et a affirmé l’engagement de l’organisation à les soutenir.



En prenant part à cet événement, Djibouti ne se contente pas d’observer : elle agit. La signature, prévue le 3 février 2025, de deux accords de jumelage ( avec Tanger et Jérusalem-Est ) illustre la volonté de la capitale djiboutienne de s’inscrire dans une dynamique de coopération stratégique. L’accord avec Tanger ouvre la voie à des échanges économiques et culturels renforcés, tandis que celui avec Jérusalem-Est, particulièrement symbolique, marque un engagement en faveur de la solidarité arabe et du dialogue interculturel.


M. Said Daoud Mohamed, à travers cette initiative, démontre une approche proactive de la gouvernance locale. En inscrivant la Ville de Djibouti dans un réseau d’échanges et de coopération avec des métropoles influentes du monde arabe, il consolide l’image de Djibouti comme un acteur clé du développement urbain et de la coopération régionale. Son engagement s’inscrit dans une vision où les villes ne sont plus de simples entités administratives, mais des plateformes d’innovation, de résilience et de prospérité partagée.



En effet, le contexte de cette rencontre est propice à de telles avancées. Le Maroc, sous l’impulsion de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, met en avant une politique de coopération ambitieuse et une approche intégrée du développement urbain. Tanger, ville hôte de cette session, se positionne comme un modèle de gouvernance locale avancée, d’innovation urbaine et de développement durable.


En outre, Djibouti s’inscrit ainsi dans un cadre où l’urbanisme, l’autonomie des collectivités et la modernisation des infrastructures sont au cœur des priorités des villes arabes. Ces accords de jumelage ne sont pas de simples signatures protocolaires : ils ouvrent la porte à des projets concrets de coopération, notamment en matière de gestion des infrastructures, de mobilité urbaine, de transition écologique et de développement culturel. La signature du jumelage avec Jérusalem-Est revêt une portée hautement politique et symbolique. Elle traduit l’attachement de Djibouti aux valeurs de solidarité et de coopération entre les villes arabes, mais aussi son engagement en faveur de la préservation du patrimoine historique et culturel. À travers cette démarche, la Ville de Djibouti témoigne de son soutien aux initiatives visant à renforcer la cohésion et le dialogue au sein du monde arabe.



L’implication de Djibouti dans cette rencontre de haut niveau souligne son ambition de jouer un rôle plus actif sur la scène régionale et internationale. En misant sur une diplomatie urbaine pragmatique et des partenariats stratégiques, la capitale djiboutienne se positionne comme un hub d’innovation et de coopération, capable de tirer profit des opportunités qu’offre la coopération inter-villes. Cette dynamique doit maintenant se traduire en actions concrètes. Les défis urbains de Djibouti  ( liés à la croissance démographique, à la gestion des infrastructures et aux impératifs environnementaux ) nécessitent des solutions innovantes et une gouvernance renforcée. L’expérience de villes comme Tanger ou Jérusalem-Est pourra servir d’inspiration pour développer une planification urbaine efficace, améliorer les services municipaux et moderniser les infrastructures.


 Avec sa participation active aux travaux de l’Organisation des Villes Arabes et la signature d’accords de jumelage d’envergure, Djibouti franchit une étape clé dans son intégration régionale. Cette stratégie, impulsée par le maire Said Daoud Mohamed, illustre la volonté de la capitale djiboutienne de s’imposer comme une ville arabe influente, ouverte aux échanges et tournée vers l’avenir.


Pour rappel, l’organisation des villes arabes a été créée le 15 mars 1967 et son siège social se trouve au Koweit. Il s'agit d'une organisation non gouvernementale indépendante qui vise à construire des villes arabes durables qui répondent aux diverses exigences du développement

urbain.


 Enfin, l’Organisation des Villes Arabes appelle à l’unification des concepts urbains pour la construction de villes durables. Reste à savoir si ces engagements porteront leurs fruits, mais une chose est certaine : Djibouti s’affirme désormais comme une ville incontournable dans l’espace urbain arabe.

samedi 1 février 2025

Ali-Sabieh en effervescence pour soutenir la candidature de SEM Mahamoud Ali Youssouf

 

Dès l’aube de ce samedi 1er février 2025, Ali-Sabieh s’est transformée en un véritable carrefour de mobilisation. Sous un ciel dégagé, des milliers de Djiboutiens, venus des quatre coins du pays, ont convergé vers cette ville emblématique pour afficher leur soutien indéfectible à la candidature de Son Excellence Monsieur Mahamoud Ali Youssouf à la présidence de l’Union Africaine.


L’ampleur de cette mobilisation, d’une rare intensité dans l’histoire politique du pays, illustre l’adhésion massive à une candidature qui dépasse largement les frontières nationales. Dès les premières lueurs du jour, une foule dense s’est rassemblée devant la préfecture d’Ali-Sabieh, formant un cortège enthousiaste et déterminé. Aux avant-postes, les jeunes des Centres de Développement Communautaire (CDC), brandissant fièrement leurs drapeaux et scandant des slogans porteurs d’espoir, incarnaient l’élan d’une Afrique en quête de renouveau.

Mais au-delà de la démonstration de force, c’est une vision qui fédère : celle d’un continent où la jeunesse est perçue non plus comme un défi, mais comme un levier de transformation. À plusieurs reprises, SEM Mahamoud Ali Youssouf a réaffirmé son ambition de placer l’éducation, l’innovation et l’insertion professionnelle des jeunes au cœur de son projet. Une priorité qui trouve un écho profond, aussi bien à Djibouti que dans le reste du continent, en quête d’un leadership audacieux et pragmatique.



Les autorités locales, parmi lesquelles le Ministre de la région, Son Excellence Mohamed Warsama Diriyeh, et le préfet Abdoumalik Mohamed Banoita, ont salué cet élan populaire d’une rare intensité. « Djibouti a toujours su se mobiliser pour les grandes causes. Aujourd’hui, nous envoyons un message clair à l’Afrique : notre candidat est un homme d’expérience et de conviction, prêt à relever les défis du continent », a souligné le préfet.

Ali-Sabieh , le temps d’une matinée s’est muée en épicentre d’une dynamique nationale. La ferveur des participants, l’organisation sans faille et la portée symbolique de ce rassemblement traduisent une réalité politique : la candidature de SEM Mahamoud Ali Youssouf ne se limite pas à un enjeu djiboutien, elle porte une ambition africaine.




Au-delà des discours et des témoignages de soutien, cette marche du 1er février s’impose comme un moment clé. En une matinée, Djibouti a réaffirmé au continent sa vision d’une Afrique tournée vers l’avenir, où le leadership visionnaire n’est plus une option, mais une nécessité impérieuse. Plus que jamais, l’Histoire se joue maintenant. #UAC #Mohamoud4UAC 

vendredi 31 janvier 2025

Mohamed Ali Gadileh, un ferry au service du désenclavement et de la modernité

 


Tadjourah, la veille. La mer, habituellement impassible, semblait suspendre son souffle. Sur le quai, une foule compacte s’était rassemblée, impatiente d’assister à un événement qui marquera un tournant dans l’histoire maritime de Djibouti. Drapé de ses couleurs éclatantes, le tout nouveau ferry, baptisé « Mohamed Ali Gadileh », s’apprêtait à prendre la mer pour son voyage inaugural.


Parmi les invités de marque, le Premier ministre, Son Excellence Abdoulkader Kamil Mohamed, était présent, entouré d’une délégation prestigieuse. Ministres, élus locaux, figures influentes de Tadjourah… Tous avaient fait le déplacement pour saluer l’arrivée de ce colosse des mers, symbole d’un engagement tenu : celui de renforcer la connexion entre les régions du nord et le reste du pays.



« Ce ferry représente bien plus qu’un simple mode de transport. Il est un véritable lien entre nos territoires, un moteur pour notre unité nationale et un levier essentiel pour notre économie », a affirmé le premier ministre , sa voix portée par la brise marine. Avec ses 50 mètres de long et une vitesse pouvant atteindre 12 nœuds, le « Mohamed Ali Gadileh » ne se limite pas à être un simple navire moderne. Il répond à une demande croissante de mobilité pour des milliers d’usagers qui, chaque jour, traversent le golfe de Tadjourah. Jusqu’à présent, les liaisons maritimes, bien qu’opérationnelles, souffraient de capacités limitées. Ce nouveau ferry vient fluidifier le trafic, raccourcir les temps de trajet et, surtout, renforcer la sécurité des traversées.


Pour les habitants de Tadjourah et ceux d’Obock , cette ligne maritime est une véritable bouée de sauvetage. « Ce ferry va changer notre quotidien. Il nous aidera à expédier nos marchandises plus rapidement, à accéder plus facilement aux soins médicaux et à de nouvelles opportunités économiques », témoigne Ali, un commerçant local.

Le choix du nom « Mohamed Ali Gadileh » n’est pas anodin. Il rend hommage à une figure emblématique des chefferies coutumières de Tadjourah, incarnation de sagesse et de transmission. En gravant son nom sur la proue de ce navire, Djibouti inscrit son développement dans son héritage tout en se tournant vers l’avenir avec ambition et modernité.


Fruit d’un partenariat avec le Japon, ce ferry s’intègre dans une vision plus large de modernisation des infrastructures nationales. Après le « Mohamed Bourhan Kassim », mis en service il y a plus de dix ans, ce nouvel ajout à la flotte djiboutienne témoigne d’une volonté affirmée : exploiter pleinement le potentiel maritime du pays pour en faire un moteur de développement durable.


Alors que le soleil amorçait sa descente, enveloppant le port de Tadjourah d’une lumière dorée, les moteurs du ferry vrombissaient doucement. La passerelle se releva, les amarres se détachèrent. Dans un sillage d’écume, le « Mohamed Ali Gadileh » s’élança, sous les acclamations enthousiastes de la foule.


Un nouvel élan pour Djibouti venait de prendre le large.

Mahmoud Ali Youssouf reçu par le président Bassirou Diomaye Faye

 M. Mahmoud Ali Youssouf, Ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale , a été reçu ce jeudi après-midi par Son Excellence Bassirou Diomaye Faye,président de la République du Sénégal. Le ministre était porteur d’un message personnel du président Ismaïl Omar Guelleh à son homologue sénégalais.



Cette rencontre illustre non seulement l’excellence des relations bilatérales entre les deux pays, mais aussi leur engagement commun à œuvrer pour le développement du continent. Les discussions ont  abordé des initiatives de coopération bilatérale ainsi que les défis majeurs auxquels l’Afrique . 

En outre , cette  visite s’inscrit également dans le cadre de la campagne du ministre pour la présidence de la Commission de l’Union africaine.



Pour rappel, Djibouti et le Sénégal entretiennent des relations diplomatiques solides et anciennes, fondées sur une proximité historique et des liens humains forts. En effet, une diaspora sénégalaise est établie de longue date à Djibouti, tandis que le Sénégal accueille chaque année plusieurs centaines d’étudiants djiboutiens dans ses établissements d’enseignement supérieur.


Enfin, l’entretien entre le président sénégalais et le chef de la diplomatie djiboutienne reflète la volonté des deux nations de renforcer leur collaboration et de promouvoir des initiatives stratégiques en faveur du développement et de la sécurité en Afrique. L’engagement du Sénégal aux côtés de Djibouti dans cette dynamique régionale et continentale est un élément clé pour assurer la stabilité et le progrès du continent.

Les télégrammes de félicitation affluent à la Présidence de la République à l'occasion de la Fête nationale

  À l'occasion de la célébration de l'anniversaire de l'Indépendance de la République de Djibouti, de nombreux dirigeants du mon...