vendredi 28 février 2025

Le Président Guelleh adresse ses meilleurs vœux à ses compatriotes à l’occasion du Ramadan

 À l’aube du mois sacré de Ramadan, le Président de la République de Djibouti, Son Excellence Ismail Omar Guelleh, a adressé ses vœux les plus sincères à ses compatriotes, appelant à un mois de dévotion, de prières et de solidarité. Dans une allocution empreinte de solennité et de spiritualité, le Chef de l’État a exprimé ses « chaleureuses félicitations » à toutes les Djiboutiennes et tous les Djiboutiens, souhaitant que ce Ramadan soit une période de « purification, de pardon et de rapprochement avec Dieu Tout-Puissant ».


« Puisse Dieu accorder Sa Grâce et Sa Lumière à notre société, afin que nous vivions pleinement les vertus les plus profondes du Ramadan, mois de jeûne, de Coran, d’invocation et de supplication à Allah », a déclaré le Président Guelleh. Il a également souligné l’importance de l’éthique du jeûne, qui ne se limite pas à l’abstinence de nourriture et de boisson, mais qui incite également à la réflexion, à la compassion et au renforcement des liens communautaires.


S.E Ismail Omar Guelleh , president de la république 

Le Président a profité de cette occasion pour évoquer les récents succès diplomatiques de Djibouti, notamment l’élection du Ministre des Affaires étrangères, Son Excellence Mahamoud Ali Youssouf, à la Présidence de la Commission de l’Union africaine. « Cette distinction honorifique témoigne de la réputation croissante de notre pays sur la scène régionale, continentale et internationale », s’est réjoui le Chef de l’État, tout en rendant hommage au ministre pour son « empreinte indélébile » dans l’histoire diplomatique de Djibouti.


Dans son allocution, le Président Guelleh a également abordé la situation préoccupante au Soudan, où un conflit sanglant continue de faire des ravages. « Nous sommes profondément attristés par les souffrances du peuple soudanais, confronté à une crise humanitaire sans précédent », a-t-il déclaré, appelant la communauté internationale à « redoubler d’efforts » pour soutenir ce pays frère. Il a réaffirmé l’attachement de Djibouti aux principes de souveraineté, d’unité et de non-ingérence dans les affaires intérieures du Soudan.


Enfin, le Président Guelleh a exprimé son soutien indéfectible au peuple palestinien, qu’il a qualifié de « modèle de courage et de persévérance face à l’oppression ». « Nous élevons nos prières vers le ciel, invoquant Allah Tout-Puissant pour qu’il vienne en aide à nos frères et sœurs en Palestine », a-t-il imploré, exprimant sa conviction que le peuple palestinien retrouvera un jour sa souveraineté pleine et entière sur sa terre ancestrale.


À travers cette allocution, le Président Guelleh a une fois de plus démontré son engagement envers les valeurs de paix, de solidarité et de justice, tout en appelant ses compatriotes à vivre ce mois de Ramadan dans l’esprit de partage et de dévotion qui le caractérise. 


jeudi 27 février 2025

Djibouti , une diplomatie de constance et d’ambition face aux bouleversements mondiaux

 

Évoquer la diplomatie aujourd’hui, c’est accepter de se frayer un chemin à travers un paysage international en perpétuelle mutation, marqué par des tensions géopolitiques exacerbées, une économie mondiale sous pression et des recompositions stratégiques imprévisibles. Pour Djibouti, véritable carrefour de la Corne de l’Afrique, ces dynamiques ne sont pas de simples concepts abstraits. Elles façonnent au quotidien la trajectoire d’un pays dont l’influence ne cesse de s’affirmer, aussi bien sur la scène régionale qu’à l’échelle continentale.



C’est dans ce contexte que le Président Ismaïl Omar Guelleh a réuni, ce jeudi, les ambassadeurs djiboutiens en poste à l’étranger au Palais de la République. Cette rencontre d’envergure, à la croisée d’un bilan et d’une projection vers l’avenir, visait à redéfinir les orientations stratégiques de la diplomatie nationale.

D’entrée de jeu, le Chef de l’État a posé un diagnostic sans détour : le monde traverse une phase de reconfiguration accélérée. L’escalade des rivalités entre grandes puissances, la multiplication des conflits régionaux, la montée des politiques protectionnistes et l’accumulation des fragilités économiques redessinent profondément l’ordre international. Face à cette réalité, les nations ne peuvent plus se contenter d’observer ; elles doivent adapter leurs stratégies, repenser leurs alliances et développer de nouveaux leviers d’influence.



Pour Djibouti, dont la diplomatie a toujours été guidée par l’équilibre et le pragmatisme, ces évolutions imposent un renforcement de son positionnement. « La complexité des défis actuels, marquée par des crises multiples et globales, nous oblige à une lecture approfondie des enjeux et à une action diplomatique anticipatrice, efficace et tournée vers les résultats », a affirmé le Président Guelleh.


Le cap est donc fixé : Djibouti doit consolider sa place sur l’échiquier international tout en évitant les pièges des polarisations idéologiques. C’est dans cette optique que le pays s’appuie sur une « diplomatie de neutralité et de non-alignement », une ligne de conduite qui lui permet de préserver son indépendance tout en restant un acteur clé des dynamiques régionales et internationales.

Mais au-delà des principes, Djibouti entend jouer un rôle concret et constructif, notamment en tant que médiateur reconnu dans les crises qui secouent la Corne de l’Afrique. « Si notre pays est aujourd’hui écouté et consulté, c’est parce qu’il a toujours défendu un idéal de paix et de dialogue », a souligné le Chef de l’État, rappelant que la stabilité demeure un atout inestimable dans une région souvent en proie à l’instabilité.



Cette diplomatie axée sur la paix s’accompagne d’une volonté affirmée de renforcer l’intégration régionale et africaine. Un engagement qui se voit aujourd’hui récompensé par l’élection de Mahamoud Ali Youssouf à la présidence de la Commission de l’Union africaine. Pour le Président Guelleh, cette nomination illustre parfaitement les fruits d’une diplomatie fondée sur la constance et le pragmatisme.


Lors de son intervention, le nouveau Président de la Commission de l’UA a tenu à exprimer sa profonde gratitude envers le Chef de l’État et l’ensemble des diplomates djiboutiens pour leur soutien sans faille. Un hommage auquel le Président Guelleh a répondu en saluant « un diplomate aguerri, un serviteur de l’État d’une grande intégrité et un homme de valeur ».


Enfin, la rencontre s’est conclue par un banquet officiel en présence des plus hautes autorités du pays et du corps diplomatique accrédité, marquant ainsi la fin d’une séquence diplomatique majeure. Mais au-delà de la célébration, l’heure était aussi aux engagements renouvelés.



Car pour Djibouti, il n’est pas question de se reposer sur ses acquis. Dans un monde en constante évolution, la diplomatie exige anticipation et agilité. Un exercice que le pays, sous l’impulsion du Président Guelleh, entend poursuivre avec la même détermination.

Énergie et innovation , une conférence sous haute tension

 Djibouti s’impose comme un carrefour de la réflexion énergétique. La troisième journée de la Energy and Applications Conference on Renewable Energy Systems and Materials en témoigne, réunissant chercheurs, ingénieurs et décideurs autour des défis et opportunités liés aux énergies renouvelables.


Dans un monde où la transition énergétique est plus une urgence qu’un choix, les débats du jour ont porté sur l’avenir des systèmes énergétiques renouvelables et sur les matériaux qui façonneront les technologies de demain. Panneaux solaires de nouvelle génération, éoliennes optimisées, batteries plus performantes… L’objectif est clair : conjuguer innovation et durabilité.



Mais au-delà des prouesses technologiques, c’est la coopération qui s’impose comme le maître-mot. Un panel stratégique intitulé “How to Strengthen Research Capacity in Science and Technology” a mis en lumière la nécessité d’une collaboration plus étroite entre universités, favorisant le partage des connaissances et l’émergence de nouvelles solutions. Construire des ponts entre disciplines, mutualiser les infrastructures de recherche et former une nouvelle génération de scientifiques capables d’affronter les défis énergétiques : voilà les priorités esquissées.


En marge de cette effervescence intellectuelle, Djibouti a marqué un point décisif sur l’échiquier énergétique international. L’Office Djiboutien du Développement de l’Énergie Géothermique (ODDEG) et l’Université de Djibouti ont scellé un partenariat avec l’Université de l’Énergie et des Géosciences de l’Utah. Une alliance stratégique qui ouvre la voie à des collaborations en matière de recherche appliquée, de formation et de développement de projets géothermiques.



Plus qu’une simple conférence, cet événement se positionne comme un catalyseur de la transition énergétique en Afrique et au-delà. Djibouti, en acteur pragmatique, continue de tracer sa route vers un avenir énergétique durable, entre ambition scientifique et réalisme géopolitique.

Djibouti, laboratoire de la transition énergétique

 L’ouverture de la Conférence internationale sur l’Énergie et ses applications, initiée par l’Université de Djibouti, marque un tournant dans la réflexion sur la transition énergétique dans la région. À l’heure où la dépendance aux énergies fossiles est de plus en plus contestée et où l’urgence climatique impose une réinvention des modèles énergétiques, Djibouti affiche une ambition claire : devenir un acteur de premier plan dans le développement des énergies renouvelables.



Les experts, universitaires et industriels réunis à Ayla Grand Hôtel n’ont pas manqué d’évoquer les défis immenses liés à cette transition, mais aussi les formidables opportunités qu’elle offre. L’électrification durable, la réduction de l’empreinte carbone et l’innovation technologique ne sont plus des chimères mais des nécessités impérieuses. Djibouti, en s’appuyant sur son potentiel solaire, éolien et même marémoteur, se veut un laboratoire d’expérimentation des solutions de demain.


L’engagement affiché par l’EDD et les acteurs privés, notamment à travers les infrastructures modernes et les investissements conséquents, illustre une volonté politique alignée sur la vision présidentielle d’une production énergétique 100 % renouvelable d’ici 2035. Mais la route est encore longue. Développer une autonomie énergétique fondée sur le renouvelable suppose non seulement des investissements massifs, mais aussi une stratégie cohérente qui allie recherche, innovation et pragmatisme industriel.



Les discussions de cette première journée ont rappelé que la transition énergétique ne se résume pas à une simple bascule technologique. C’est un enjeu global qui touche à l’économie, au social et à la souveraineté nationale. La coopération internationale, soulignée par les interventions du recteur de l’Université technique d’Istanbul et des experts turcs, apparaît essentielle pour relever ce défi.



Reste maintenant à transformer ces ambitions en résultats concrets. Le dynamisme affiché lors de cette conférence laisse entrevoir une promesse : celle d’un Djibouti qui, loin de subir les mutations énergétiques mondiales, aspire à en être un acteur influent. À condition que l’élan de ces échanges ne retombe pas dès la fin des travaux et que les engagements prennent le relais des discours.

mardi 25 février 2025

Commande publique , la CNMP passe à la vitesse supérieure

Ce matin , lors du Conseil des ministres, où chaque prise de parole est soigneusement calibrée, le Secrétaire Général du Gouvernement, M. Almis Mohamed Abdillahi, a présenté le rapport 2024 de la Commission Nationale des Marchés Publics (CNMP). Ce document, désormais un rendez-vous incontournable, dresse un panorama précis des progrès réalisés, des ambitions affichées et des défis à relever dans un secteur devenu un véritable baromètre de la gouvernance économique djiboutienne.


Derrière les chiffres – 223 marchés attribués pour un montant total de 52,98 milliards de francs djiboutiens, dont 71,02 % en faveur des entreprises nationales – se dessine une transformation en profondeur. Trois axes structurent cette évolution : modernisation, digitalisation et transparence. Des piliers qui, progressivement, font de la commande publique un moteur de développement.


M. Almis Mohamed Abdillahi,SG du gouvernement 

En effet, le symbole le plus marquant de cette mutation est sans doute le portail électronique des marchés publics, opérationnel depuis 2023. Bien plus qu’un simple espace institutionnel, il traduit une volonté affirmée de renforcer la traçabilité et d’accélérer le traitement des dossiers. Mais l’ambition ne s’arrête pas là : d’ici 2027, la CNMP prévoit le déploiement d’une plateforme nationale d’e-Procurement, qui digitalisera entièrement le processus d’attribution des marchés. Une réforme qui, si elle est menée à bien, positionnera Djibouti parmi les nations où la commande publique rime avec efficacité et rigueur.


Toutefois, moderniser ne suffit pas, encore faut-il mesurer l’impact des réformes. En 2024, une première évaluation indépendante de la performance du système a mis en lumière des avancées significatives : réduction des délais de soumission, amélioration du flux d’informations, publication systématique des attributions. Mais le rapport n’a pas éludé les points de friction, notamment en ce qui concerne le suivi des contrats et le contrôle de leur exécution, qui restent perfectibles.

En outre, le renforcement des compétences nationales a également été une priorité. Des formations ont été mises en place à destination des administrations contractantes et des opérateurs économiques, afin de professionnaliser l’écosystème et d’assurer une meilleure maîtrise des procédures.


Sur la scène continentale, Djibouti consolide sa position. Sa nomination en tant que coordinateur de la région Afrique de l’Est au sein du Réseau Africain de la Commande Publique (RACOP) lors de la 4ᵉ assemblée de Kigali illustre la reconnaissance des efforts entrepris. Cette légitimité s’est également affirmée à travers l’organisation d’un colloque régional sur la commande publique, qui a rassemblé plus de 350 acteurs issus des secteurs public, privé et de la société civile.

Mais la CNMP ne compte pas lever le pied. L’année à venir s’annonce stratégique, avec en ligne de mire une révision du Code des Marchés Publics, afin de l’adapter aux réalités économiques et d’en affiner la régulation. Parallèlement, des mesures seront prises pour soutenir les consultants nationaux, les PME et les jeunes entrepreneurs, dans l’optique d’une commande publique plus inclusive.


Publié au Journal Officiel et accessible sur le portail électronique, le rapport 2024 se veut un outil de référence pour les décideurs, les chercheurs et les citoyens. Il met en lumière les avancées réalisées et trace les perspectives à venir. Dans un domaine où l’opacité a longtemps été la règle, Djibouti affiche désormais une volonté de transparence. Une mutation qui dépasse les simples données chiffrées et engage l’avenir économique du pays. 

lundi 24 février 2025

Djibouti et Jigjiga jettent les bases d’un jumelage pour un partenariat renforcé


 Ce matin, l’Hôtel de Ville de Djibouti a abrité une rencontre d’envergure entre les autorités municipales de Djibouti et de Jigjiga. Accueillant avec solennité une délégation de haut niveau en provenance de la capitale de la région somalie d’Éthiopie, le Maire de Djibouti a reçu Son Excellence Monsieur Shafi Ahmed Mealin, Maire de Jigjiga, accompagné de plusieurs figures éminentes.


Parmi les membres de la délégation figuraient notamment Monsieur Abdihakim SheikHassen Ali, Ministre du Commerce et du Transport, ainsi que Monsieur Ahmed Reshid Abdile, Ministre des Investissements et de l’Industrie, entourés de hauts responsables de leurs administrations respectives. Cette visite s’inscrit dans une volonté commune de resserrer les liens entre les deux villes et d’identifier des axes de coopération stratégiques.



L’un des points centraux des discussions a été la mise en place d’un jumelage entre Djibouti et Jigjiga. Ce partenariat ambitionne d’établir une collaboration durable dans des domaines clés tels que l’économie, la culture et les affaires sociales. Il vise à encourager les échanges commerciaux et les investissements tout en valorisant les racines culturelles partagées et en développant des initiatives sociales bénéfiques pour les populations des deux villes.


Saluant cette dynamique prometteuse, le Maire de Djibouti a exprimé son enthousiasme et déroulé le tapis rouge à ses hôtes. Il a souligné l’importance de ce rapprochement, qui constitue une avancée majeure vers une coopération renforcée entre les deux municipalités. De son côté, le Maire de Jigjiga a tenu à remercier chaleureusement les autorités djiboutiennes pour l’accueil fraternel qui leur a été réservé, témoignant ainsi des liens historiques et culturels profonds qui unissent les deux peuples.



Les discussions ont été jugées constructives et pleines de perspectives. Les deux édiles ont affiché leur engagement à concrétiser des initiatives conjointes et à mettre en place des cadres de travail communs afin d’assurer des retombées tangibles pour les citoyens.


Ce rapprochement entre Djibouti et Jigjiga s’inscrit dans une dynamique plus large de coopération régionale décentralisée, ouvrant la voie à un partenariat mutuellement bénéfique. Au-delà des enjeux économiques, il pourrait également contribuer à la stabilité et à la prospérité de la région.


Par ailleurs, multiplier les jumelages avec d’autres villes partenaires représente pour Djibouti une opportunité stratégique, aussi bien sur le plan diplomatique qu’économique. Ces collaborations permettent de consolider les relations bilatérales et de favoriser des échanges fructueux dans divers domaines, tels que le commerce, l’éducation, la culture et le développement urbain. En s’alliant à des villes partageant des défis et des ambitions similaires, Djibouti peut tirer parti d’un transfert de compétences, de bonnes pratiques et d’investissements ciblés. De plus, ces coopérations locales renforcent l’intégration régionale et participent à la promotion d’une diplomatie de proximité, confortant ainsi le rôle de Djibouti en tant que hub stratégique en Afrique de l’Est.



Enfin , les prochaines étapes consisteront à formaliser ce projet de jumelage à travers la signature d’accords bilatéraux et la création de groupes de travail dédiés, chargés de piloter la mise en œuvre des initiatives convenues lors de cette rencontre historique.

dimanche 23 février 2025

Djibouti se prépare à accueillir l’ICEA 2025

 À quelques jours de l’ouverture de la Conférence Scientifique Internationale sur l’Énergie et ses Applications (ICEA 2025), prévue du 25 au 27 février à l’Ayla Grand Hotel, les préparatifs battent leur plein. Cet événement, organisé par l’Université de Djibouti sous l’égide du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche et du Ministère de l’Énergie, réunira des experts, chercheurs et décideurs de premier plan pour discuter des enjeux et innovations en matière d’énergies renouvelables.


Les équipes d’organisation peaufinent les derniers détails logistiques pour assurer le bon déroulement de cette première édition. L’Ayla Grand Hotel, qui accueillera la conférence, finalise l’installation des équipements techniques nécessaires aux présentations et panels de discussion. De leur côté, les délégations internationales commencent à arriver à Djibouti, accueillies par le comité d’organisation qui coordonne leur hébergement et leurs déplacements.



Le programme de l’ICEA 2025 s’annonce riche en échanges et en découvertes. Les thématiques abordées incluent :

L’intégration des énergies renouvelables dans les stratégies nationales de développement

L’innovation technologique pour un accès équitable à l’énergie

Les financements et partenariats internationaux pour la transition énergétique

Les nouveaux défis du stockage et de la distribution énergétique

Des conférenciers de renom, issus d’institutions académiques, d’organisations internationales et du secteur privé, partageront leurs expertises et visions sur l’avenir énergétique.


En marge de la conférence, l’Université de Djibouti mettra en avant ses initiatives phares, notamment ses laboratoires de recherche en ingénierie énergétique, ses projets de coopération régionale et ses innovations pédagogiques comme le Mobile Studio. Les autorités djiboutiennes, dont les ministres de l’Énergie et de l’Enseignement Supérieur, suivront de près l’événement, témoignant de l’engagement du pays en faveur d’une énergie propre et accessible.



Alors que l’ICEA 2025 s’apprête à ouvrir ses portes, Djibouti confirme son ambition de devenir un acteur clé de la transition énergétique en Afrique et au-delà.

Les télégrammes de félicitation affluent à la Présidence de la République à l'occasion de la Fête nationale

  À l'occasion de la célébration de l'anniversaire de l'Indépendance de la République de Djibouti, de nombreux dirigeants du mon...