En regardant une vidéo de l’ Africa CEO Forum , J’ai pris cette capture hier soir au moment où IOG était en scène :
Paul Kagame et William Ruto, attentifs et absorbés par les propos d'IOG. Ce n'est pas une surprise pour Kagame, dont la complicité avec IOG remonte à des années. Tous deux incarnent un courant panafricain progressiste, croyant fermement que l'intégration africaine est la clé pour un continent plus prospère et plus fort.
Kagame a clairement affirmé l'importance de la présence d'IOG, le désignant comme l'atout politique de ce forum. L'objectif était clair : montrer aux CEO africains que le leadership politique est à l'écoute de leurs aspirations. En tant que l'un des architectes de la ZLECAF (Zone de Libre-Échange Continentale Africaine), IOG était le choix parfait pour cette mission. Kagame savait que son ami pourrait inspirer et mobiliser les dirigeants présents.
Et puis, il y avait William Ruto, aspirant à devenir un leader de l'Afrique de l'Est. Nouveau sur la scène, il écoute religieusement chaque mot d'IOG, comprenant que l'expérience et la sagesse du président djiboutien sont inestimables. Leur longue discussion après le panel en témoigne, avec Ruto cherchant des conseils avant son voyage aux États-Unis. Une preuve de plus de l'influence et du respect que commande IOG.
Lors de son intervention, IOG a articulé une vision réaliste et pragmatique de l'intégration africaine. En mettant en avant des mécanismes comme la ZLECAF et le renforcement des organisations sous-régionales, il a su captiver et convaincre l'assemblée. Les applaudissements nourris des participants ont été un hommage à sa clairvoyance et à son leadership incontesté.
IOG, c'est un maître de la scène politique africaine. En quelques mots, il a su galvaniser une audience entière, démontrant une fois de plus que Guelleh, c’est une chance pour Djibouti et pour l’Afrique.
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