lundi 17 mars 2025

RPP , une soirée d’échanges et d’engagement à l’annexe Cheikh Moussa



 Dans le cadre de sa tournée nationale, le Rassemblement Populaire pour le Progrès (RPP) a fait escale à l’annexe Cheikh Moussa, marquant ainsi la deuxième étape d’une série de rencontres stratégiques. Une soirée riche en échanges et en émotions, tenue en cette 17ᵉ nuit bénie du Ramadan, qui a réuni les membres des comités locaux, des sages, des jeunes et des femmes issus de quatre annexes de Balbala : Cheikh Moussa, T3, Wahle-Daba et Hayabley.

Conduite par S.E. Mouna Osman Aden, membre du comité exécutif du parti, accompagnée de S.E.M. Ali Hassan Bahdon et S.E.M. Hassan Mohamed Kamil, membres du comité central, la délégation du RPP a rassemblé un large éventail de figures influentes. Parlementaires, élus locaux et cadres du parti ont convergé vers Cheikh Moussa, témoignant ainsi du dynamisme et de la cohésion de cette formation politique.



En outre, cette rencontre a été l’occasion de mettre en lumière des enjeux cruciaux liés à la jeunesse, à la solidarité, aux valeurs citoyennes ainsi qu’aux réformes des annexes. Les discussions ont permis d’aborder les préoccupations des militants tout en réaffirmant les engagements du RPP en faveur d’un développement inclusif et participatif.


 Enfin, l’atmosphère était empreinte d’un fort esprit militant , reflétant la volonté du RPP de demeurer au plus proche de ses adhérents. À travers ces dialogues récurrents, le parti démontre une fois de plus sa détermination à renforcer les liens avec ses militants et à œuvrer sans relâche pour le bien-être de la population.

Cette tournée illustre la dynamique du parti et son engagement constant à écouter, comprendre et répondre aux aspirations des citoyens. Plus qu’un exercice politique, ces rencontres s’inscrivent dans une démarche de consolidation du pacte social et de renforcement du lien entre les gouvernants et le peuple.




Avec cette deuxième étape, le RPP confirme son rôle moteur dans le paysage politique djiboutien et poursuit son engagement à bâtir un avenir fondé sur la concertation et la solidarité.




dimanche 16 mars 2025

Lancement de la tournée de proximité du RPP dans un esprit de dialogue citoyen

 Ce Samedi soir, l’Esplanade de l’annexe des Q4/6-Einguella s’est transformée en véritable théâtre de la proximité et de la convivialité. Sous un ciel clément et dans une atmosphère résolument chaleureuse, le Rassemblement Populaire pour le Progrès (RPP) ( fondé le 4 mars 1979 ) a officiellement lancé sa tournée traditionnelle de rencontres de proximité, un rendez-vous annuel ancré dans la culture du dialogue et de l’échange.


Au cœur de cette initiative, le RPP réaffirme sa volonté de maintenir un dialogue permanent avec les militants et les citoyens, pierre angulaire de sa vie politique. Comme en témoignent les organisateurs, cette démarche s’inscrit dans la lignée de valeurs chères au parti depuis sa création, faisant du dialogue non seulement une pratique, mais une véritable philosophie politique.



La soirée, ponctuée de discours , de moments d’échanges et de concertation, a rassemblé un large éventail de personnalités politiques et de militants. Outre la présence  des membres du comité exécutif, plusieurs ministres et parlementaires issus du groupe RPP ont participé activement aux débats et aux célébrations. Les présidents des annexes, ainsi qu’un nombre considérable de militants provenant de toute la fédération de Djibouti-Ville, ont également pris part à cet événement. Ce rassemblement, organisé durant le mois béni du Ramadan, rappelle l’importance de l’union et du partage dans un contexte sociopolitique en constante évolution.


À travers cette tournée, le RPP démontre qu’au-delà des grandes orientations politiques, ce sont les échanges de proximité qui forgent l’essence même du parti. En multipliant les rencontres de terrain, le parti souhaite non seulement recueillir les préoccupations des citoyens, mais également renforcer le lien de confiance avec ses militants. Une démarche qui, dans l’esprit de François Soudan, se veut à la fois incisive et intimiste, mettant en lumière le chemin parcouru depuis plus de quatre décennies et les perspectives d’avenir pour un progrès partagé.



 Derrière les discours officiels et les applaudissements enthousiastes se cache une équipe passionnée qui œuvre pour faire de chaque rencontre une expérience authentique. Les témoignages recueillis sur place reflètent un sentiment unanime : l’importance de redonner la parole à la base et de réaffirmer le pouvoir du dialogue dans une démocratie vivante. Le cadre atypique de l’Esplanade, lieu symbolique où se mêlent histoire et modernité, a offert un décor propice à des échanges riches et diversifiés, dans une ambiance qui, pour l’instant, se veut le prélude d’un nouveau chapitre politique.



En outre, le RPP incarne une vision de la démocratie participative en multipliant les occasions de dialogue direct entre le comité exécutif et la base, illustrant ainsi sa volonté d’une gouvernance ouverte et inclusive. Dans la capitale comme dans les régions, ces rencontres régulières se transforment en véritables laboratoires d’échanges, où chaque voix compte et contribue à la définition des orientations politiques. Parallèlement à ces réunions, diverses activités ( ateliers, forums citoyens etc ) viennent renforcer ce tissu démocratique en donnant aux militants et aux citoyens l’opportunité de s’exprimer, d’évaluer les actions du parti et de proposer des initiatives innovantes. Ce modèle, fondé sur la transparence et la concertation, témoigne de l’attachement indéfectible du RPP à une politique qui place le dialogue et l’engagement collectif au cœur de son action.



Enfin , ce lancement n’est pas seulement le début d’une tournée, mais le symbole d’une dynamique politique résolument tournée vers l’avenir. Le RPP, fidèle à son engagement de longue date, réaffirme ainsi sa confiance dans la force du dialogue pour bâtir un progrès partagé et durable.


 



vendredi 14 mars 2025

Djibouti à la manœuvre pour la paix au Soudan du Sud

 Dans la continuité de son engagement en faveur de la stabilité régionale, le président Ismaïl Omar Guelleh, en sa qualité de  président en exercice de l’IGAD, a tracé les grandes lignes du protocole général d’application des décisions prises lors du sommet extraordinaire de l’organisation régionale sur le Soudan du Sud.


Reçu ce jeudi au Palais de la République, le Secrétaire exécutif de l’IGAD, M. Workneh Gebeyehu, s’est vu remettre une feuille de route claire visant à mettre en œuvre sans délai une cessation des hostilités et à ouvrir un nouveau chapitre de dialogue politique entre les parties prenantes sud-soudanaises.



Selon des sources proches du dossier, ce plan de sortie de crise repose sur une approche graduelle combinant diplomatie de terrain et engagement multilatéral. Une mission de bons offices de l’IGAD sera ainsi dépêchée au Soudan du Sud, immédiatement suivie par le déplacement à Djouba d’une délégation de ministres des Affaires étrangères issus de trois pays membres de l’organisation.


Ce ballet diplomatique traduit la volonté de Djibouti de consolider son rôle de médiateur incontournable dans la Corne de l’Afrique. Consciente des défis sécuritaires et politiques qui entravent la stabilisation du Soudan du Sud, la présidence djiboutienne mise sur une approche inclusive et concertée, loin des effets d’annonce sans lendemain.


L’audience entre le Chef de l’État et le Secrétaire exécutif de l’IGAD s’est tenue en présence de la Conseillère diplomatique du Président, Madame Fathia Djama Oudine, témoignant ainsi de l’importance stratégique accordée à cette initiative par Djibouti.


Si l’IGAD parvient à traduire ces décisions en actes concrets, ce serait une avancée significative pour la région. Mais comme toujours en diplomatie, la volonté politique doit s’accompagner de garanties solides et d’un suivi rigoureux. L’horloge tourne pour le Soudan du Sud, et Djibouti entend bien jouer son rôle d’accélérateur de paix.

jeudi 13 mars 2025

Passation de pouvoir à la CUA , un nouveau chapitre s’ouvre

 Sous la majestueuse coupole du Nelson Mandela Hall, l’Union africaine vient de tourner ce 13 mars 2025  une page et d’en écrire une nouvelle. C’est dans une atmosphère à la fois solennelle et emplie d’optimisme que la Commission sortante a cédé le témoin à la nouvelle équipe dirigeante. Un moment chargé de symboles, où le passé, fort de ses réalisations, rencontre l’avenir, porteur de promesses.


Au premier rang des acteurs de cette journée, le président sortant de la Commission, qui, dans un discours rétrospectif, a dressé un bilan chiffré de ses avancées : consolidation de la paix dans certaines régions du continent, promotion de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) et renforcement des mécanismes de gouvernance. « Nous avons jeté des bases solides, mais la tâche est loin d’être achevée », a-t-il martelé, rappelant que l’intégration africaine se nourrit de l’action concertée des États membres.



L’instant fort de la cérémonie est intervenu lorsque Mohamoud Ali Youssouf, nouveau président de la Commission de l’Union africaine, a prêté serment en compagnie des quatre commissaires qui l’accompagneront dans sa mission. Face au parterre de chefs d’État et de délégués, sous le regard bienveillant du président de l’Union africaine, Son Excellence João Gonçalves Lourenço, les nouveaux dirigeants ont juré de servir avec dévouement et intégrité la cause panafricaine.


Dans une allocution brève mais dense, Mohamoud Ali Youssouf a aussitôt fixé le cap : « Nous devons poursuivre le chantier de l’unité africaine et renforcer les synergies économiques, sécuritaires et culturelles. Il est temps de consolider la position de l’Afrique sur la scène internationale. » Il a insisté sur la nécessité d’accélérer la mise en œuvre des grands projets continentaux, qu’il s’agisse de la modernisation des infrastructures, de la lutte contre le changement climatique ou de la préservation de la souveraineté alimentaire.



La cérémonie, qui s’est conclue par une réception officielle, a ensuite laissé place à une rencontre à huis clos entre le président de l’Union africaine et la nouvelle équipe de la Commission. L’occasion, selon des sources proches du dossier, de définir un plan d’action concret pour les prochains mois.




Au sortir de ce passage de flambeau, c’est toute l’organisation panafricaine qui se prépare à un nouveau départ. Entre les défis d’un continent en pleine mutation et les attentes d’une jeunesse nombreuse et ambitieuse, la Commission renouvelée sait qu’elle sera jugée sur sa capacité à transformer l’élan de cette investiture en progrès tangibles. Pour l’Union africaine, l’heure est venue de passer de la parole à l’action, dans l’espoir de faire rimer souveraineté africaine avec prospérité partagée.




mercredi 12 mars 2025

Mahmoud Ali Youssouf restructure son cabinet de la commission africaine

 Dans les couloirs de l’UA à Addis-Abeba, véritable centre névralgique de la diplomatie africaine, un vent de renouveau souffle sur l’administration de la Commission de l’Union africaine. Mahmoud Ali Youssouf, président de cette institution panafricaine, a récemment désigné Mohamed El-Amine Souef comme Chief of Staff et l’ambassadeur Moussa Mohamed Omar au poste de Deputy Chief of Staff. Ces nominations, loin d’être anodines, reflètent une vision stratégique claire et marquent une évolution réfléchie au sommet de la Commission.



Mohamed El-Amine Souef, succédant à Prof. Mohamed El Hacen Lebatt, est un visage bien connu des cercles décisionnels africains. Ancien représentant spécial du président de la Commission pour la Somalie et ancien chef de la mission ATMIS, il a également travaillé au sein de la MINUSMA au Mali. Diplomate accompli, cet ancien ministre comorien des Affaires étrangères (1999-2006) dispose d’une expertise pointue des dynamiques géopolitiques africaines, qu’il a enrichie à travers la publication de cinq ouvrages majeurs. Francophone, anglophone, arabophone et swahiliphone, il incarne un pont entre les cultures et les sphères diplomatiques du continent.


À ses côtés, Moussa Mohamed Omar, ex-directeur de la communication du ministère des Affaires étrangères de Djibouti, occupe désormais le poste laissé vacant par Amb. Tordeta Ratebaye. Moins médiatisé sur la scène internationale, ce stratège discret mais influent aura un rôle déterminant dans la gestion interne et la communication de la Commission.



Dans un contexte où l’Union africaine tente de renforcer sa souveraineté diplomatique face à des pressions extérieures et des crises internes persistantes, ces nouvelles nominations témoignent d’une volonté claire : s’appuyer sur des experts aguerris, capables de naviguer dans des environnements complexes. Ce changement intervient à un moment critique pour l’institution, confrontée à des enjeux majeurs, tels que les conflits dans la Corne de l’Afrique, les tensions dans les Grands Lacs ou encore la réforme tant attendue du Conseil de sécurité de l’ONU.



Avec Mohamed El-Amine Souef et Moussa Mohamed Omar à la barre, Mahmoud Ali Youssouf joue la carte de l’expérience et de la continuité, tout en insufflant un souffle nouveau à son équipe. Ce remaniement stratégique pourrait bien renforcer la capacité de l’Union africaine à s’imposer comme un acteur crédible et influent sur la scène internationale.

Djibouti, au cœur d’une médiation salvatrice pour le Soudan du Sud

 Affirmant son leadership régional, le président djiboutien Ismail Omar Guelleh a présidé, ce mercredi par visioconférence, le 43ᵉ sommet extraordinaire de l’IGAD, consacré à la crise qui secoue le Soudan du Sud. Initiée par le chef de l’État, cette rencontre intervient dans un contexte d’escalade des violences et de tensions politiques, menaçant d’aggraver la situation déjà précaire du pays.

Ce sommet s’est voulu une véritable tribune pour encourager un dialogue élargi entre les États membres de l’IGAD. Sous l’impulsion du président Guelleh, les participants ont pris la mesure de l’urgence et appelé les parties en conflit à la retenue. Djibouti, à travers son mandat actuel, réaffirme ainsi sa volonté de faire de la paix et de la stabilité une priorité régionale.

Prenant la parole, le président Guelleh a exprimé son inquiétude face à la résurgence des affrontements au Soudan du Sud. Il a néanmoins réaffirmé son attachement à l’accord de paix de 2018, qualifié de « pierre angulaire de l’espoir » pour le pays et l’ensemble de la région. Dans un appel solennel, il a exhorté les dirigeants sud-soudanais à privilégier le dialogue et la concertation, soulignant que leur leadership serait déterminant pour remettre leur nation sur la voie d’une paix durable.



Le chef de l’État a ensuite présenté un plan en trois axes pour endiguer la crise :

Un cessez-le-feu immédiat, condition indispensable à toute avancée positive.

L’application rigoureuse de l’accord de paix revitalisé de 2018, garantissant une transition politique crédible.

Un dialogue inclusif impliquant toutes les forces politiques et les différentes communautés du pays, avec un soutien régional accru.

Ce dispositif progressif vise à renverser la dynamique actuelle et à redonner au Soudan du Sud une perspective de stabilité.


Conscient que la paix ne peut être atteinte sans soutien extérieur, le président djiboutien a exhorté la communauté internationale à intensifier son engagement. Il a notamment appelé l’ONU, l’Union africaine et les partenaires internationaux à poursuivre leur appui technique et financier, en particulier durant les deux années de transition prolongée. Il a également salué l’initiative Tumaini, portée par le président kényan, symbole d’une volonté commune d’apporter une solution durable au conflit.


Le sommet a rassemblé l’ensemble des membres de l’IGAD ( Éthiopie, Ouganda, Somalie, Kenya ) ainsi que des personnalités influentes telles que Moussa Faki, président de la Commission de l’Union africaine, et Workneh Gebeyehu, secrétaire exécutif de l’IGAD. Dans des interventions empreintes de gravité, Moussa Faki a dénoncé les ravages du conflit sur les civils, tandis que Workneh Gebeyehu a dressé un état des lieux alarmant, appelant à une réponse immédiate et coordonnée.

En orchestrant ce sommet, le président Guelleh confirme le rôle stratégique de Djibouti dans la pacification de l’Afrique de l’Est. Sa présidence de l’IGAD se traduit par une volonté ferme d’encourager le dialogue et la coopération pour surmonter les défis que pose la crise sud-soudanaise.


Enfin , ce sommet extraordinaire marque ainsi une étape déterminante : au-delà de l’urgence d’arrêter les violences, il trace la voie vers une paix durable, grâce à un engagement régional et international renouvelé. Si le chemin reste semé d’embûches, cette mobilisation pourrait bien être le premier pas vers un avenir plus stable pour le Soudan du Sud.

dimanche 9 mars 2025

Le président Guelleh salue Moussa Faki dans une cérémonie de reconnaissance et de renouveau

Ce dimanche en milieu de matinée, le Palais de la République de Djibouti a accueilli une rencontre empreinte de solennité et de symbolisme. Le Chef de l’État, Son Excellence Ismail Omar Guelleh, a reçu, dans un climat de cordialité affirmée, le Président de la Commission de l’Union africaine, M. Moussa Faki Mahamat, venu marquer la fin de son second mandat à la tête de l’Organisation panafricaine.


Au terme d’un parcours marqué par un engagement sans faille, M. Moussa Faki a profité de cette audience pour exprimer toute sa gratitude envers le Président Guelleh. « Sous l’égide du Président Guelleh, la République de Djibouti s’est toujours distinguée par un soutien sans faille à l’Union africaine », déclarait-il, soulignant ainsi le rôle déterminant de Djibouti dans la dynamique panafricaine. Dans ce contexte, Djibouti a su affirmer sa foi inébranlable dans le projet africain, en contribuant à la montée en puissance d’un continent en quête de stabilité et d’unité.



En signe de reconnaissance pour son dévouement et l’appui constant apporté durant son mandat, Son Excellence Ismail Omar Guelleh a décoré M. Moussa Faki Mahamat de la Médaille de Commandeur dans l’Ordre de la Grande Étoile de Djibouti, la plus haute distinction nationale. Ce geste symbolique vient sceller le bilan d’un mandat couronné par des succès diplomatiques et un engagement profond envers l’intégration africaine.


La cérémonie a également été marquée par la présence du nouveau Président élu de la Commission de l’Union africaine, Son Excellence Mahamoud Ali Youssouf, ancien chef de la diplomatie djiboutienne. Dans une allocution empreinte de modestie et d’optimisme, M. Mahamoud Ali Youssouf a déclaré appréhender ses nouvelles fonctions « avec sérénité, humilité et optimisme », tout en s’inspirant du « travail colossal abattu sous le leadership » de son prédécesseur.



Aux côtés de M. Moussa Faki, son Directeur de Cabinet, le Professeur Mohamed Al-Hacen Lebatt, témoignait d’une cohésion et d’un professionnalisme qui ont animé tout l’évènement. Pour Djibouti, la rencontre a mobilisé plusieurs hauts dignitaires : Son Excellence Abdi Mahamoud Aybeh, Ambassadeur auprès de la République Fédérale et Démocratique d’Éthiopie et Représentant permanent auprès de l’Union africaine, l’Ambassadeur Guelleh Idriss Omar, le Directeur des Relations multilatérales au Ministère des Affaires étrangères, la Conseillère diplomatique du Chef de l’État, Mme Fathia Djama Oudine, ainsi que le Secrétaire Général de la Présidence, M. Mohamed Abdillaho Waiss.


Enfin , ce rendez-vous symbolise bien plus qu’un adieu. Il s’inscrit dans une dynamique de transition qui, tout en saluant un bilan remarquable, ouvre la voie à un renouveau porteur d’ambitions renouvelées pour l’Union africaine. La cérémonie, teintée d’une émotion mesurée et d’un respect mutuel palpable, rappelle combien le soutien constant et la vision partagée sont essentiels pour relever les défis d’un continent en pleine mutation.



En conjuguant continuité et renouveau, Djibouti réaffirme son engagement à soutenir une Afrique forte et solidaire, prête à relever les défis de demain tout en s’appuyant sur l’héritage d’une diplomatie panafricaine éclairée. Le passage de témoin, orchestré dans le respect des traditions et l’ambition de l’avenir, promet ainsi une nouvelle ère pour l’Union africaine, guidée par des principes de dialogue, de coopération et d’excellence. 

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