mardi 15 avril 2025

Djibouti joue un rôle actif lors de la 24e session extraordinaire du Conseil Exécutif de l'UA

 La 24e session extraordinaire du Conseil exécutif de l'Union africaine (UA) s'est tenue ce mardi au siège de l'organisation à Addis-Abeba, marquée par une participation remarquée de la délégation djiboutienne. Sous la présidence de Son Excellence Mohamoud Ali Youssouf, cette réunion ministérielle a permis d'aboutir à des décisions importantes pour la gouvernance continentale.



La République de Djibouti était représentée par une délégation conduite par le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, S.E. Abdoulkader Houssein Omar, accompagné de l'ambassadeur de Djibouti en Éthiopie et représentant permanent auprès de l'UA, S.E. Abdi Mohamoud Eybe, ainsi que de l'ambassadeur Guelleh Idriss et des cadres de l’ambassade. Leur présence active témoigne de l'engagement constant de Djibouti en faveur de la coopération continentale.



Les travaux de la session ont abouti à plusieurs nominations clés :

- L'élection de nouveaux membres au Conseil de paix et de sécurité (CPS), dont Djibouti qui rejoint ainsi cette instance cruciale pour la stabilité continentale

- La désignation d'un représentant à la Commission de droit international de l'UA (AUCIL)

- La nomination d'un expert au Conseil africain de l'espace (AfSC), soulignant l'intérêt croissant pour les technologies spatiales


En outre, les participants ont également examiné le projet de rapport concernant l'élection de deux nouveaux commissaires :

1. Le commissaire au Développement économique, Tourisme, Commerce, Industrie et Mines (ETTIM)

2. Le commissaire à l'Éducation, Science, Technologie et Innovation (ESTI)


Parmi les principaux résultats de cette session, on note :

- Pour l'Afrique du Nord : l'Algérie (nouveau membre) et l'Égypte (réélue)

- Pour l'Afrique de l'Ouest : le Nigeria (réélu) et le Sénégal (nouveau membre)

- Pour l'Afrique centrale : le Cameroun (membre sortant) et le Tchad (nouveau membre)

- Pour l'Afrique de l'Est : le Kenya (réélu) et Djibouti (nouveau membre)

- Pour l'Afrique australe : l'Afrique du Sud (membre sortant) et la Namibie (nouveau membre)


En effet, ces élections interviennent à un moment charnière pour la sécurité africaine, avec plusieurs crises à gérer :

- La situation au Sahel

- Les tensions en République démocratique du Congo

- Les défis dans la Corne de l'Afrique

Les nouveaux membres du CPS entreront en fonction en mai 2025 avec un agenda chargé, devant à la fois gérer ces crises urgentes et poursuivre les réformes des architectures de paix et de sécurité africaines.

Enfin , cette session extraordinaire a permis non seulement de renouveler la gouvernance des principales instances de l'UA, mais aussi de confirmer le rôle central de Djibouti dans les dynamiques politiques et sécuritaires du continent. L'élection de Djibouti au CPS vient couronner son engagement constant en faveur de la stabilité régionale et de l'intégration africaine.

lundi 14 avril 2025

Pour une nouvelle architecture de la solidarité climatique, l’appel visionnaire du Président Guelleh

Éditorial

Alors que les effets du changement climatique frappent avec une intensité croissante, particulièrement en Afrique, la deuxième édition de la Conférence internationale de Djibouti sur le Changement Climatique, Recherche et Résilience (2CR2) se présente comme un forum crucial pour repenser les réponses globales. Sous l’impulsion du Président Ismail Omar Guelleh, cet événement a une nouvelle fois réuni décideurs politiques, scientifiques de renom et acteurs de la société civile autour d’un impératif : bâtir une solidarité climatique effective et juste. 



Les interventions ont rappelé une réalité implacable : sécheresses prolongées, inondations dévastatrices et dégradation des écosystèmes aggravent les fragilités économiques et sociales, nourrissent les conflits et poussent des populations entières à l’exode. Face à cette crise multidimensionnelle, le Président Guelleh a posé un diagnostic sans équivoque :« Il n’y aura ni avenir viable sans stabilité environnementale, ni prospérité partagée sans justice climatique ».

Cette affirmation résume l’enjeu central. L’Afrique, bien que contribuant le moins aux émissions mondiales, en subit disproportionnellement les conséquences. Pourtant, comme l’a souligné le chef de l’État djiboutien, le continent pourrait devenir un acteur clé de la transition énergétique, à condition que la communauté internationale joue pleinement son rôle.  



Le plaidoyer du Président Guelleh repose sur un principe simple mais exigeant : la mutualisation des savoirs, des financements et des technologies . Il a insisté sur la nécessité d’un partenariat international équitable , fondé sur la confiance et la reconnaissance des spécificités africaines. Sans cela, les discours sur la résilience resteront lettre morte.  

Ainsi, Djibouti montre la voie à travers des initiatives concrètes, comme l’Observatoire Régional de Recherche pour l’Environnement et le Climat (ORREC). Véritable prouesse scientifique, cette institution illustre comment la recherche peut servir les populations, en anticipant les crises sanitaires ou en adaptant les pratiques agropastorales. Son succès démontre que l’expertise locale, couplée à une coopération internationale, peut générer des solutions durables. 


En sa qualité de président en exercice de l’IGAD, le Chef de l’État a également rappelé l’importance d’une approche régionale. La gestion concertée des ressources hydriques et l’intégration de la résilience climatique dans les stratégies de prévention des conflits sont des priorités. Comme il l’a affirmé, «  les tensions liées à l’eau doivent devenir des opportunités de coopération, non des sources de division ». 

La conclusion du Président Guelleh appelle à une mobilisation collective. Les nations doivent dépasser les engagements théoriques pour construire une «  nouvelle architecture de la solidarité climatique », où les responsabilités sont partagées et les moyens alloués à la hauteur des défis.  



Alors que la COP28 a réaffirmé l’urgence d’agir, des initiatives comme la 2CR2 prouvent que des États comme Djibouti, bien que modestes en taille, portent une vision ambitieuse. L’Afrique n’entend pas être un continent victime, mais un partenaire incontournable dans la lutte pour le climat. 

Reste à savoir si les grandes puissances, souvent absorbées par leurs rivalités géopolitiques, sauront écouter cet appel. Car comme le rappelle justement le Président Guelleh, la justice climatique n’est pas une option, mais la condition sine qua non d’un avenir commun. 



dimanche 13 avril 2025

Djibouti et Somalie renforcent leur partenariat stratégique lors d’une visite officielle de haut niveau

 Le Président de la République , Son Excellence M. Ismaïl Omar Guelleh, a reçu ce dimanche matin au Palais de la République le Président du Sénat somalien, M. Abdi Hachi Abdillahi, en visite officielle de trois jours dans le pays. Cette rencontre historique s’inscrit dans le cadre du renforcement continu des relations bilonationales, marquées par une confiance mutuelle, des affinités culturelles profondes et une vision commune pour la stabilité et le développement de la Corne de l’Afrique.  



Accompagné d’une délégation parlementaire de haut niveau, le Président Abdillahi a été accueilli avec les honneurs protocolaires, reflétant l’importance stratégique que Djibouti attache à ce partenariat fraternel. Les discussions ont porté sur l’avancement des projets de coopération bilatérale, renforcés par des liens historiques, linguistiques et géostratégiques, ainsi que sur la situation sécuritaire en Somalie, engagée dans une lutte décisive contre les dernières poches d’instabilité.  


Le Président Guelleh a réaffirmé avec force l’engagement inébranlable de Djibouti aux côtés de la Somalie dans ses efforts de paix, de réconciliation nationale et de reconstruction. Une position saluée par le Président du Sénat somalien, qui a rendu un vibrant hommage au rôle clé joué par Djibouti dans la stabilisation de son pays.  

« Le peuple djiboutien et son Président sont les bâtisseurs du retour de l’espoir en Somalie », a déclaré M. Abdillahi devant les médias, évoquant avec émotion la Conférence d’Arta de 2000, organisée sous l’égide de Djibouti, qui avait jeté les bases de la renaissance politique somalienne. « Nous n’oublierons jamais le rôle pionnier de Djibouti dans notre renaissance nationale. »  

Ces paroles, prononcées dans une atmosphère de grande fraternité, ont été chaleureusement applaudies par les représentants des deux nations, réunis pour marquer une nouvelle étape dans leur coopération.    


Aux côtés du Chef de l’État, le Président de l’Assemblée nationale, M. Dileita Mohamed Dileita, ainsi que les membres du Bureau parlementaire, ont pris part aux échanges. La délégation somalienne comprenait notamment l’ambassadeur de Somalie à Djibouti, M. Salad Ali Jeleh, ainsi que plusieurs sénateurs et conseillers stratégiques. La présence remarquée de l’ambassadeur de Djibouti en Somalie, M. Mohamed Ibrahim Youssouf, a également souligné l’importance diplomatique de cette rencontre.  



Dans une région parfois fragilisée par des défis sécuritaires et politiques, cette visite illustre la résilience et la profondeur des relations djibouto-somaliennes, forgées par l’histoire et consolidées par une coopération multiforme. Les deux parties ont exprimé leur volonté commune d’approfondir leurs collaborations économique, sécuritaire et culturelle, afin d’assurer un avenir prospère et stable pour leurs peuples.  

Alors que la Somalie poursuit son processus de reconstruction et que Djibouti consolide son rôle de plaque tournante régionale, cette rencontre symbolise plus que jamais la fraternité indéfectible entre les deux nations, unies par un destin commun et une volonté partagée de paix.  


Djibouti célèbre les exploits de ses athlètes sur la scène internationale

 

Les couleurs de Djibouti ont une nouvelle fois brillé sur la scène sportive internationale, grâce aux performances exceptionnelles de deux de ses plus illustres représentants.  


 L’athlète Ibrahim Hassan Bouh a écrit une nouvelle page de l’histoire du sport djiboutien en décrochant la 2ème place du Marathon de Paris , l’une des courses les plus prestigieuses au monde. Non content de monter sur le podium, il a pulvérisé son propre record national, confirmant ainsi sa place parmi les meilleurs coureurs de fond du continent africain.  Cette performance remarquable lui ouvre également les portes du prochain Championnat du Monde puisqu’il a réalisé les minimas qualificatifs requis. Une consécration pour ce marathonien, qui continue d’inspirer toute une génération de jeunes sportifs djiboutiens.  



Sur le plan continental, le champion d’Afrique en titre du 10 000 mètres, Mohamed Ismail Ibrahim , surnommé  "Fatah" , a une nouvelle fois démontré sa suprématie en remportant haut la main l’épreuve reine du Meeting international de Djibouti . Sa victoire, obtenue devant un public conquis, renforce son statut de favori pour les prochaines compétitions majeures.  

En effet , ces récents succès s’inscrivent dans une progression constante des athlètes djiboutiens sur la scène internationale. Que ce soit en athlétisme, en marathon ou dans d’autres disciplines, les sportifs du pays multiplient les performances, portés par une politique de formation ambitieuse et un soutien institutionnel fort. 


Enfin , ces exploits n’auraient pas été possibles sans l’engagement personnel de Son Excellence le Président de la République , dont le soutien indéfectible au sport national permet à la jeunesse djiboutienne de se mesurer aux meilleurs athlètes du monde. Grâce à sa vision, Djibouti affirme sa présence dans le paysage sportif international, hissant son drapeau toujours plus haut.  

Alors que la nation tout entière vibre au rythme de ces victoires, une chose est certaine : l’âge d’or du sport djiboutien ne fait que commencer. 


Droit & IA : audace numérique, enjeu souverain

  Le président de l’Assemblée nationale, M. Dileita Mohamed Dileita, et le secrétaire général du gouvernement, M. Almis Mohamed Abdillahi, ont conjointement présidé hier matin la cérémonie inaugurale d’un atelier sur la modernisation du droit à l’ère de l’intelligence artificielle, tenu à l’Assemblée nationale. Cet événement a rassemblé experts juridiques, ingénieurs, universitaires et parlementaires autour d’un débat crucial sur l’avenir du système juridique national.  



 

Dans son allocution, M. Dileita Mohamed Dileita a plaidé pour un cadre législatif moderne, accessible et adapté aux défis contemporains. Il a salué les avancées du Secrétariat général du gouvernement, notamment l’amélioration de la plateforme e-JO, facilitant l’accès aux normes juridiques. «  Je salue les efforts significatifs pour moderniser le cadre juridique et rendre le droit plus compréhensible pour tous « , a-t-il déclaré.  

Insistant sur la qualité des lois, il a rappelé que des textes clairs et cohérents sont essentiels pour garantir transparence et légitimité. «  L’amélioration de la qualité des lois est une pierre angulaire d’un système juridique juste », a-t-il souligné, appelant à un langage simple et précis.  


Face à la révolution de l’IA, M. Dileita a souligné la nécessité d’un droit évolutif, capable de répondre aux enjeux éthiques et techniques. «  Le droit doit être un outil vivant, sans perdre ses principes fondamentaux », a-t-il affirmé, exhortant les législateurs à définir un cadre juridique clair pour l’IA.  

M. Almis Mohamed Abdillahi a, quant à lui, insisté sur l’urgence d’adapter le droit aux mutations numériques. « À l’ère du numérique, nous devons accélérer la modernisation », a-t-il martelé, saluant la plateforme e-JO, «  symbole de notre engagement pour la transformation numérique et la valorisation des talents nationaux ».



Lancée en octobre 2023, la plateforme e-JO a permis la numérisation de l’ensemble des textes normatifs depuis 1900. « Cette prouesse est le fruit de l’engagement du président Ismaïl Omar Guelleh pour la préservation de notre patrimoine »,  a rappelé M. Almis.  

Avec plus de 1 000 connexions quotidiennes, la plateforme intègre désormais un chatbot juridique développé localement, offrant une assistance interactive aux citoyens. D’autres outils sont en cours de développement, comme le portail de la commande publique, attendu d’ici fin 2024.  


L’atelier a aussi alerté sur les besoins en données pour l’IA, nécessitant une digitalisation accrue de l’administration. Si des institutions comme la Présidence ou la CNSS sont déjà avancées, d’autres, comme l’Assemblée nationale, rejoignent progressivement la dynamique.  

«  Il faut comprendre les implications de l’IA pour tous les secteurs », a insisté M. Almis, appelant à une synergie entre juristes, techniciens et parlementaires.  


Enfin, les échanges ont permis aux participants de dégager des pistes concrètes pour bâtir un droit plus juste, plus accessible et plus efficace. « En collaborant, nous pouvons construire un cadre juridique à la hauteur des défis de demain », a conclu M. Dileita, affirmant ainsi l’engagement de Djibouti dans l’ère du droit numérisé.




Le mot de la fin, lucide et porteur de sens, est revenu à Almis Mohamed Abdillahi : « Une société sans archives est une société sans mémoire. » À l’ère de l’intelligence artificielle, l’avenir du droit commence peut-être… par un devoir de mémoire numérique.



vendredi 11 avril 2025

Djibouti et la Russie renforcent leur coopération bilatérale lors d'une rencontre diplomatique de haut niveau

 Son Excellence M. Abdoulkader Houssein Omar, Ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale a reçu Son Excellence Mme Viktoria Abramchenko, Vice-Présidente de la Douma d’État de la Fédération de Russie. Cette rencontre s’est déroulée en présence de l’Honorable Safia Elmi Djibril, Première Vice-Présidente de l’Assemblée nationale, ainsi que de plusieurs membres du Bureau de l’Assemblée et du Groupe d’amitié parlementaire Djibouti-Russie. 



 Les discussions ont permis aux deux parties de passer en revue l’état des relations historiques entre Djibouti et la Russie, tout en explorant les moyens de renforcer leur partenariat dans divers domaines. Les échanges ont mis en lumière de nombreuses opportunités de coopération, notamment dans les secteurs économique, commercial, énergétique, scientifique et culturel.  


À cette occasion, Mme Abramchenko a remis une lettre officielle de félicitations adressée par Son Excellence Monsieur Sergueï Lavrov, Ministre des Affaires étrangères de la Russie, au Chef de la diplomatie djiboutienne. Dans ce message, M. Lavrov a exprimé ses vœux de succès à M. Abdoulkader Houssein Omar dans ses nouvelles fonctions, tout en réaffirmant l’engagement de la Russie à renforcer les relations avec Djibouti.  


En réponse, le Ministre djiboutien a vivement remercié son homologue russe pour cette marque d’attention, saluant également la dynamique positive engendrée par la visite de la Vice-Présidente de la Douma. Il a souligné la volonté commune des deux pays d’approfondir leurs liens d’amitié et de coopération, hérités d’une longue histoire de relations cordiales.  


 À l’issue de cette rencontre, les deux parties ont réaffirmé leur détermination à œuvrer ensemble pour donner un nouvel élan à leurs relations bilatérales. Elles ont également exprimé leur engagement en faveur d’un partenariat mutuellement bénéfique, capable de répondre aux défis communs et de promouvoir la prospérité des deux nations.  



Enfin , cette visite s’inscrit dans le cadre du renforcement continu des relations diplomatiques et économiques entre Djibouti et la Russie, témoignant d’une coopération en plein essor et tournée vers l’avenir.  


 


jeudi 10 avril 2025

Le Maire de la capitale prend part à la cérémonie de mise en service des patrouilleurs

 La cérémonie de mise en service des deux nouveaux patrouilleurs des Garde-Côtes djiboutiens, présidée ce jeudi par le Président de la République Son Excellence Ismail Omar Guelleh, a réuni les plus hautes autorités du pays. Parmi les personnalités présentes, le Maire de Djibouti-ville, M. Said Daoud a pris part à cet événement marquant pour la sécurité maritime nationale.  



Le maire, parmi les invités de marque, a eu l'occasion de croiser le Président dont il a eu un bref échange, soulignant ainsi l’attachement du chef de l’État à la la décentralisation et la politique de la ville, l’une des initiatives phares de sa feuille de route. La présence de M. Said Daoud aux côtés du ministre des Infrastructures et de l'Équipement, M. Hassan Houmed Ibrahim, du président de l’Assemblée Nationale M. Dileyta Mohamed et de l'Ambassadeur du Japon, M. Hara Keiichi entre autres , témoigne de l'importance accordée par la municipalité aux enjeux de sécurité maritime, particulièrement cruciaux pour la capitale côtière.  


D'une longueur de 35 mètres chacun, ces patrouilleurs de fabrication japonaise dotés de technologies de pointe permettront de renforcer significativement la surveillance des eaux territoriales, notamment autour de la zone portuaire de Djibouti-ville, cœur économique du pays. Le maire a pu constater de visu ces nouveaux équipements qui contribueront à sécuriser les approches maritimes de la capitale et ses sites touristiques comme les îles Moucha et Maskali.  



En effet, cette cérémonie a également mis en lumière le rôle croissant de Djibouti comme garant de la stabilité régionale dans le détroit de Bab el-Mandeb. La présence conjointe du chef de l'État et du premier magistrat de la capitale symbolise l'unité nationale face aux défis sécuritaires et le soutien municipal aux initiatives présidentielles de modernisation des forces navales.  


Avec cette nouvelle flotte, Djibouti-ville, sous l'impulsion de son maire et dans le cadre de la vision stratégique du Président Guelleh, se dote d'atouts supplémentaires pour protéger ses intérêts maritimes tout en consolidant sa position de hub régional.

Les télégrammes de félicitation affluent à la Présidence de la République à l'occasion de la Fête nationale

  À l'occasion de la célébration de l'anniversaire de l'Indépendance de la République de Djibouti, de nombreux dirigeants du mon...