vendredi 14 mars 2025

Djibouti à la manœuvre pour la paix au Soudan du Sud

 Dans la continuité de son engagement en faveur de la stabilité régionale, le président Ismaïl Omar Guelleh, en sa qualité de  président en exercice de l’IGAD, a tracé les grandes lignes du protocole général d’application des décisions prises lors du sommet extraordinaire de l’organisation régionale sur le Soudan du Sud.


Reçu ce jeudi au Palais de la République, le Secrétaire exécutif de l’IGAD, M. Workneh Gebeyehu, s’est vu remettre une feuille de route claire visant à mettre en œuvre sans délai une cessation des hostilités et à ouvrir un nouveau chapitre de dialogue politique entre les parties prenantes sud-soudanaises.



Selon des sources proches du dossier, ce plan de sortie de crise repose sur une approche graduelle combinant diplomatie de terrain et engagement multilatéral. Une mission de bons offices de l’IGAD sera ainsi dépêchée au Soudan du Sud, immédiatement suivie par le déplacement à Djouba d’une délégation de ministres des Affaires étrangères issus de trois pays membres de l’organisation.


Ce ballet diplomatique traduit la volonté de Djibouti de consolider son rôle de médiateur incontournable dans la Corne de l’Afrique. Consciente des défis sécuritaires et politiques qui entravent la stabilisation du Soudan du Sud, la présidence djiboutienne mise sur une approche inclusive et concertée, loin des effets d’annonce sans lendemain.


L’audience entre le Chef de l’État et le Secrétaire exécutif de l’IGAD s’est tenue en présence de la Conseillère diplomatique du Président, Madame Fathia Djama Oudine, témoignant ainsi de l’importance stratégique accordée à cette initiative par Djibouti.


Si l’IGAD parvient à traduire ces décisions en actes concrets, ce serait une avancée significative pour la région. Mais comme toujours en diplomatie, la volonté politique doit s’accompagner de garanties solides et d’un suivi rigoureux. L’horloge tourne pour le Soudan du Sud, et Djibouti entend bien jouer son rôle d’accélérateur de paix.

jeudi 13 mars 2025

Passation de pouvoir à la CUA , un nouveau chapitre s’ouvre

 Sous la majestueuse coupole du Nelson Mandela Hall, l’Union africaine vient de tourner ce 13 mars 2025  une page et d’en écrire une nouvelle. C’est dans une atmosphère à la fois solennelle et emplie d’optimisme que la Commission sortante a cédé le témoin à la nouvelle équipe dirigeante. Un moment chargé de symboles, où le passé, fort de ses réalisations, rencontre l’avenir, porteur de promesses.


Au premier rang des acteurs de cette journée, le président sortant de la Commission, qui, dans un discours rétrospectif, a dressé un bilan chiffré de ses avancées : consolidation de la paix dans certaines régions du continent, promotion de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) et renforcement des mécanismes de gouvernance. « Nous avons jeté des bases solides, mais la tâche est loin d’être achevée », a-t-il martelé, rappelant que l’intégration africaine se nourrit de l’action concertée des États membres.



L’instant fort de la cérémonie est intervenu lorsque Mohamoud Ali Youssouf, nouveau président de la Commission de l’Union africaine, a prêté serment en compagnie des quatre commissaires qui l’accompagneront dans sa mission. Face au parterre de chefs d’État et de délégués, sous le regard bienveillant du président de l’Union africaine, Son Excellence João Gonçalves Lourenço, les nouveaux dirigeants ont juré de servir avec dévouement et intégrité la cause panafricaine.


Dans une allocution brève mais dense, Mohamoud Ali Youssouf a aussitôt fixé le cap : « Nous devons poursuivre le chantier de l’unité africaine et renforcer les synergies économiques, sécuritaires et culturelles. Il est temps de consolider la position de l’Afrique sur la scène internationale. » Il a insisté sur la nécessité d’accélérer la mise en œuvre des grands projets continentaux, qu’il s’agisse de la modernisation des infrastructures, de la lutte contre le changement climatique ou de la préservation de la souveraineté alimentaire.



La cérémonie, qui s’est conclue par une réception officielle, a ensuite laissé place à une rencontre à huis clos entre le président de l’Union africaine et la nouvelle équipe de la Commission. L’occasion, selon des sources proches du dossier, de définir un plan d’action concret pour les prochains mois.




Au sortir de ce passage de flambeau, c’est toute l’organisation panafricaine qui se prépare à un nouveau départ. Entre les défis d’un continent en pleine mutation et les attentes d’une jeunesse nombreuse et ambitieuse, la Commission renouvelée sait qu’elle sera jugée sur sa capacité à transformer l’élan de cette investiture en progrès tangibles. Pour l’Union africaine, l’heure est venue de passer de la parole à l’action, dans l’espoir de faire rimer souveraineté africaine avec prospérité partagée.




mercredi 12 mars 2025

Mahmoud Ali Youssouf restructure son cabinet de la commission africaine

 Dans les couloirs de l’UA à Addis-Abeba, véritable centre névralgique de la diplomatie africaine, un vent de renouveau souffle sur l’administration de la Commission de l’Union africaine. Mahmoud Ali Youssouf, président de cette institution panafricaine, a récemment désigné Mohamed El-Amine Souef comme Chief of Staff et l’ambassadeur Moussa Mohamed Omar au poste de Deputy Chief of Staff. Ces nominations, loin d’être anodines, reflètent une vision stratégique claire et marquent une évolution réfléchie au sommet de la Commission.



Mohamed El-Amine Souef, succédant à Prof. Mohamed El Hacen Lebatt, est un visage bien connu des cercles décisionnels africains. Ancien représentant spécial du président de la Commission pour la Somalie et ancien chef de la mission ATMIS, il a également travaillé au sein de la MINUSMA au Mali. Diplomate accompli, cet ancien ministre comorien des Affaires étrangères (1999-2006) dispose d’une expertise pointue des dynamiques géopolitiques africaines, qu’il a enrichie à travers la publication de cinq ouvrages majeurs. Francophone, anglophone, arabophone et swahiliphone, il incarne un pont entre les cultures et les sphères diplomatiques du continent.


À ses côtés, Moussa Mohamed Omar, ex-directeur de la communication du ministère des Affaires étrangères de Djibouti, occupe désormais le poste laissé vacant par Amb. Tordeta Ratebaye. Moins médiatisé sur la scène internationale, ce stratège discret mais influent aura un rôle déterminant dans la gestion interne et la communication de la Commission.



Dans un contexte où l’Union africaine tente de renforcer sa souveraineté diplomatique face à des pressions extérieures et des crises internes persistantes, ces nouvelles nominations témoignent d’une volonté claire : s’appuyer sur des experts aguerris, capables de naviguer dans des environnements complexes. Ce changement intervient à un moment critique pour l’institution, confrontée à des enjeux majeurs, tels que les conflits dans la Corne de l’Afrique, les tensions dans les Grands Lacs ou encore la réforme tant attendue du Conseil de sécurité de l’ONU.



Avec Mohamed El-Amine Souef et Moussa Mohamed Omar à la barre, Mahmoud Ali Youssouf joue la carte de l’expérience et de la continuité, tout en insufflant un souffle nouveau à son équipe. Ce remaniement stratégique pourrait bien renforcer la capacité de l’Union africaine à s’imposer comme un acteur crédible et influent sur la scène internationale.

Djibouti, au cœur d’une médiation salvatrice pour le Soudan du Sud

 Affirmant son leadership régional, le président djiboutien Ismail Omar Guelleh a présidé, ce mercredi par visioconférence, le 43ᵉ sommet extraordinaire de l’IGAD, consacré à la crise qui secoue le Soudan du Sud. Initiée par le chef de l’État, cette rencontre intervient dans un contexte d’escalade des violences et de tensions politiques, menaçant d’aggraver la situation déjà précaire du pays.

Ce sommet s’est voulu une véritable tribune pour encourager un dialogue élargi entre les États membres de l’IGAD. Sous l’impulsion du président Guelleh, les participants ont pris la mesure de l’urgence et appelé les parties en conflit à la retenue. Djibouti, à travers son mandat actuel, réaffirme ainsi sa volonté de faire de la paix et de la stabilité une priorité régionale.

Prenant la parole, le président Guelleh a exprimé son inquiétude face à la résurgence des affrontements au Soudan du Sud. Il a néanmoins réaffirmé son attachement à l’accord de paix de 2018, qualifié de « pierre angulaire de l’espoir » pour le pays et l’ensemble de la région. Dans un appel solennel, il a exhorté les dirigeants sud-soudanais à privilégier le dialogue et la concertation, soulignant que leur leadership serait déterminant pour remettre leur nation sur la voie d’une paix durable.



Le chef de l’État a ensuite présenté un plan en trois axes pour endiguer la crise :

Un cessez-le-feu immédiat, condition indispensable à toute avancée positive.

L’application rigoureuse de l’accord de paix revitalisé de 2018, garantissant une transition politique crédible.

Un dialogue inclusif impliquant toutes les forces politiques et les différentes communautés du pays, avec un soutien régional accru.

Ce dispositif progressif vise à renverser la dynamique actuelle et à redonner au Soudan du Sud une perspective de stabilité.


Conscient que la paix ne peut être atteinte sans soutien extérieur, le président djiboutien a exhorté la communauté internationale à intensifier son engagement. Il a notamment appelé l’ONU, l’Union africaine et les partenaires internationaux à poursuivre leur appui technique et financier, en particulier durant les deux années de transition prolongée. Il a également salué l’initiative Tumaini, portée par le président kényan, symbole d’une volonté commune d’apporter une solution durable au conflit.


Le sommet a rassemblé l’ensemble des membres de l’IGAD ( Éthiopie, Ouganda, Somalie, Kenya ) ainsi que des personnalités influentes telles que Moussa Faki, président de la Commission de l’Union africaine, et Workneh Gebeyehu, secrétaire exécutif de l’IGAD. Dans des interventions empreintes de gravité, Moussa Faki a dénoncé les ravages du conflit sur les civils, tandis que Workneh Gebeyehu a dressé un état des lieux alarmant, appelant à une réponse immédiate et coordonnée.

En orchestrant ce sommet, le président Guelleh confirme le rôle stratégique de Djibouti dans la pacification de l’Afrique de l’Est. Sa présidence de l’IGAD se traduit par une volonté ferme d’encourager le dialogue et la coopération pour surmonter les défis que pose la crise sud-soudanaise.


Enfin , ce sommet extraordinaire marque ainsi une étape déterminante : au-delà de l’urgence d’arrêter les violences, il trace la voie vers une paix durable, grâce à un engagement régional et international renouvelé. Si le chemin reste semé d’embûches, cette mobilisation pourrait bien être le premier pas vers un avenir plus stable pour le Soudan du Sud.

dimanche 9 mars 2025

Le président Guelleh salue Moussa Faki dans une cérémonie de reconnaissance et de renouveau

Ce dimanche en milieu de matinée, le Palais de la République de Djibouti a accueilli une rencontre empreinte de solennité et de symbolisme. Le Chef de l’État, Son Excellence Ismail Omar Guelleh, a reçu, dans un climat de cordialité affirmée, le Président de la Commission de l’Union africaine, M. Moussa Faki Mahamat, venu marquer la fin de son second mandat à la tête de l’Organisation panafricaine.


Au terme d’un parcours marqué par un engagement sans faille, M. Moussa Faki a profité de cette audience pour exprimer toute sa gratitude envers le Président Guelleh. « Sous l’égide du Président Guelleh, la République de Djibouti s’est toujours distinguée par un soutien sans faille à l’Union africaine », déclarait-il, soulignant ainsi le rôle déterminant de Djibouti dans la dynamique panafricaine. Dans ce contexte, Djibouti a su affirmer sa foi inébranlable dans le projet africain, en contribuant à la montée en puissance d’un continent en quête de stabilité et d’unité.



En signe de reconnaissance pour son dévouement et l’appui constant apporté durant son mandat, Son Excellence Ismail Omar Guelleh a décoré M. Moussa Faki Mahamat de la Médaille de Commandeur dans l’Ordre de la Grande Étoile de Djibouti, la plus haute distinction nationale. Ce geste symbolique vient sceller le bilan d’un mandat couronné par des succès diplomatiques et un engagement profond envers l’intégration africaine.


La cérémonie a également été marquée par la présence du nouveau Président élu de la Commission de l’Union africaine, Son Excellence Mahamoud Ali Youssouf, ancien chef de la diplomatie djiboutienne. Dans une allocution empreinte de modestie et d’optimisme, M. Mahamoud Ali Youssouf a déclaré appréhender ses nouvelles fonctions « avec sérénité, humilité et optimisme », tout en s’inspirant du « travail colossal abattu sous le leadership » de son prédécesseur.



Aux côtés de M. Moussa Faki, son Directeur de Cabinet, le Professeur Mohamed Al-Hacen Lebatt, témoignait d’une cohésion et d’un professionnalisme qui ont animé tout l’évènement. Pour Djibouti, la rencontre a mobilisé plusieurs hauts dignitaires : Son Excellence Abdi Mahamoud Aybeh, Ambassadeur auprès de la République Fédérale et Démocratique d’Éthiopie et Représentant permanent auprès de l’Union africaine, l’Ambassadeur Guelleh Idriss Omar, le Directeur des Relations multilatérales au Ministère des Affaires étrangères, la Conseillère diplomatique du Chef de l’État, Mme Fathia Djama Oudine, ainsi que le Secrétaire Général de la Présidence, M. Mohamed Abdillaho Waiss.


Enfin , ce rendez-vous symbolise bien plus qu’un adieu. Il s’inscrit dans une dynamique de transition qui, tout en saluant un bilan remarquable, ouvre la voie à un renouveau porteur d’ambitions renouvelées pour l’Union africaine. La cérémonie, teintée d’une émotion mesurée et d’un respect mutuel palpable, rappelle combien le soutien constant et la vision partagée sont essentiels pour relever les défis d’un continent en pleine mutation.



En conjuguant continuité et renouveau, Djibouti réaffirme son engagement à soutenir une Afrique forte et solidaire, prête à relever les défis de demain tout en s’appuyant sur l’héritage d’une diplomatie panafricaine éclairée. Le passage de témoin, orchestré dans le respect des traditions et l’ambition de l’avenir, promet ainsi une nouvelle ère pour l’Union africaine, guidée par des principes de dialogue, de coopération et d’excellence. 

samedi 8 mars 2025

Ismaïl Omar Guelleh : “La femme djiboutienne, pilier de notre nation”

À l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, le Président de la République, Ismaïl Omar Guelleh, a rendu dans un communiqué un hommage appuyé aux Djiboutiennes, saluant leur rôle fondamental dans la construction du pays et réaffirmant son engagement en faveur d’une société plus égalitaire.


Dans une déclaration empreinte de reconnaissance et de vision politique, le Chef de l’État a tenu à rappeler que les femmes de Djibouti ont, de tout temps, été à l’avant-garde des combats essentiels de la nation. “Si nos compatriotes femmes ont été des figures de proue dans la lutte pour notre indépendance, elles n’ont cessé, depuis, de contribuer avec courage et abnégation au développement de notre pays”, a-t-il souligné.



Loin d’être un simple communiqué de circonstance, la déclaration présidentielle s’inscrit dans une continuité : celle d’une politique volontariste visant à renforcer la place des femmes dans les sphères décisionnelles. “Nous sommes d’autant plus disposés à concéder davantage de postes à responsabilité à nos compatriotes femmes qu’elles font montre d’une plus grande rigueur professionnelle et d’une aptitude plus fournie en termes de reddition de comptes et de culture de résultats”, a observé le Président Guelleh.


En effet, cette reconnaissance n’est pas anodine. Elle s’appuie sur des avancées tangibles : la présence croissante des femmes dans les hautes fonctions de l’État, leur engagement dans l’entrepreneuriat et leur implication de plus en plus marquée dans les rouages économiques du pays. Autant d’acquis que le Chef de l’État entend consolider.


Dans cet hommage aux forces vives féminines du pays, le Président Guelleh n’a pas manqué d’avoir une pensée pour celle qui incarne, à ses côtés, cette lutte pour l’égalité des droits : la Première Dame, Kadra Mahamoud Haïd. “Je ne saurais omettre d’avoir aujourd’hui une pensée pour la figure de proue de notre paysage public féminin, la Présidente de l’Union Nationale des Femmes Djiboutiennes (UNFD), pour son engagement précieux, constant et indéfectible”, a-t-il déclaré.

Sous son impulsion, l’UNFD a multiplié les initiatives en faveur de l’autonomisation des femmes, de leur accès à l’éducation et de leur protection contre toutes formes de violences et de discriminations.



Au-delà des célébrations, le Président a rappelé un principe fondamental : la réussite nationale repose sur la complémentarité des hommes et des femmes. “Puisse la femme djiboutienne accéder à davantage de paliers de bien-être, de bonheur et de prospérité aux fins d’une plus grande quiétude, stabilité et sérénité dans nos foyers et notre société”, a-t-il imploré.


En filigrane, un message clair : l’unité et la cohésion nationale, si chères à Djibouti, ne peuvent être atteintes sans une pleine reconnaissance du rôle des femmes dans la société. En ce 8 mars, c’est donc bien plus qu’un hommage que le Chef de l’État a rendu aux Djiboutiennes. C’est une promesse : celle d’un avenir où elles occuperont la place qui leur revient. 

Le Président Guelleh reçoit les Ambassadeurs des Pays arabes et de Türkiye

 

Le Président de la République, Son Excellence Ismail Omar Guelleh, a reçu ce samedi soir, à sa Résidence privée d’Haramous, Dar Al-Goud, les Ambassadeurs des Pays arabes et de Türkiye accrédités auprès de Djibouti.


Cette rencontre, placée sous le signe de la fraternité et du partage, a permis aux diplomates de transmettre au Chef de l’État et au peuple djiboutien les vœux de leurs dirigeants à l’occasion du mois béni du Ramadan. À travers la voix du Doyen du Corps diplomatique, l’Ambassadeur du Yémen, Son Excellence Abdallah Al-Soukoutri, ils ont exprimé leurs souhaits de paix et de prospérité pour Djibouti.



Le Président Guelleh, en retour, a adressé ses meilleurs vœux de santé et de bonheur aux dirigeants musulmans ainsi que des vœux de progrès et de développement aux peuples frères. Il a également formulé l’espoir de voir les missions diplomatiques de ses hôtes couronnées de succès.


Avant cette audience officielle, le Chef de l’État et les Ambassadeurs présents ont accompli ensemble les prières du Icha et du Tarawih, un moment de recueillement qui témoigne des liens profonds entre Djibouti et les nations représentées.



Parmi les diplomates ayant pris part à cette rencontre figuraient les Ambassadeurs du Yémen, de l’Arabie saoudite, du Qatar, de l’Égypte, de l’Algérie, du Maroc, du Soudan, de la Palestine et de Türkiye.


Enfin, cet échange reflète la proximité entre Djibouti et ces pays, unis par des relations historiques et une communauté de valeurs, renforçant ainsi les liens diplomatiques et de coopération entre leurs peuples.

Les télégrammes de félicitation affluent à la Présidence de la République à l'occasion de la Fête nationale

  À l'occasion de la célébration de l'anniversaire de l'Indépendance de la République de Djibouti, de nombreux dirigeants du mon...